Rue Joseph Gos

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[[Fichier:Eb_0010.jpg|400px|thumb|left|Panorama de Braine-l'Alleud vu du haut du Champ-Craya (haut de la rue Joseph Gos actuellement). Carte postale écrite en 1913 par Omer Castiaux au très révérend Père Marcel Ghysebrechts à Schilde.]]
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[[Fichier:JG_(7).jpg|400px|thumb|left| A gauche: le "château Saint-Etienne" et à droite : la cure.]]
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[[Fichier:JG.jpg|400px|thumb|left| Au centre, le numéro 54 actuel.]]
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Version du 26 novembre 2011 à 15:49

Voir aussi Rue et place Colo Hugues, Rue Saint-Laurent, Rue de la Fosse au Sable

Jadis : rue Champ Craya.

Joseph Gos est un résistant de la région de Charleroi, membre du refuge Ours de l'Armée Secrète (AS). C'est dans la nuit du 3 février 1944 que 4 hommes du groupe du refuge Ours projettent une action contre les occupants allemands. Partis de la Rue Sainte-Anne, ils passent par la Rue du Petit Jean et remontent la rue Champ Craya. Tout à coup, dans la nuit noire, deux cyclistes allemands sortent du château Saint-Laurent et, apercevant le commando, balayent la rue de la lumière de leurs phares. Les résistants ouvrent le feu, Les Allemands tombent mais l'un d'eux n'est que blessé et fait le mort. Lorsque Joseph Gos se précipite pour aller s'emparer des armes, le soldat allemand ouvre le feu et l'abat. Une stèle rappelle au passant l'endroit où est tombé Joseph Gos et son nom a été donné à la rue où il est tombé les armes à la main. (Source : "Braine-l'Alleud - Origine des noms des lieux-dits et des rues" par Gaston Philippe (Editions Quorum - 1997)).

2008 (8 mars) : permis d'urbanisme annulé par le Conseil d'Etat pour le 46, rue Joseph Gos. Voir archives Le Soir

Vers 1900 : bas de la rue Champ Craya au carrefour avec la rue Colo Hugues. Aquarelle de Gustave Pleunes.
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Rue Champ Craya (actuelle rue Joseph Gos) depuis son sommet vers 1900.
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Panorama de Braine-l'Alleud vu du haut du Champ-Craya (haut de la rue Joseph Gos actuellement). Carte postale écrite en 1913 par Omer Castiaux au très révérend Père Marcel Ghysebrechts à Schilde.
A droite, la Rue de la Fosse au Sable. Andre Fiévet : La maison, au centre de la photo, était un café. C'es-tait au "pan'teux" l'ardoisier en français. Celui-ci s'appelait Albert "Kitch" (spot!!!!)
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A gauche: le "château Saint-Etienne" et à droite : la cure.
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Au centre, le numéro 54 actuel.
19 septembre 2010 : le numéro 54 avant transformations. Photo : Jean-François Piraux.
19 septembre 2010 : stèle "Joseph Gos". Photo : Jean-François Piraux.
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