Rue du Paradis
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Voir aussi Zone d'Immersion Temporaire, Vignoble, Rue Longue, Rue du Vignoble
Va de la Rue Longue au sentier du Paradis. Source: "Braine-l'Alleud - Origine des noms des lieux-dits et des rues" par Gaston Philippe (Editions Quorum - 1997)
Le nom de "Paradis" était anciennement donné aux endroits où l'on enterrait les chevaux ou autres animaux.
30 juin 1963: ouverture du centre de délassement "Le Paradis".
On trouve dans la rue du Paradis, un étang d’une superficie de 28 ares. Un peu plus loin, on peut trouver les 35 hectares du plan d’eau du Paradis. C’est là que la commune construira une nouvelle piscine.
L’étang du Paradis est un ancien centre de délassement qui proposait un parc, un bassin de natation, une pataugeoire pour enfants et une buvette. Il accueillit jusqu’à 400 personnes par jour.
En 1968,le droit d'accès au bassin de natation était de 10 francs, l'abonnement saisonnier était fixé à 100 francs et l'abonnement scolaire à 50 francs. Le bassin de natation et la pataugeoire étaient accessibles au public du 1er juin au 30 septembre, les bains n'étaient surveillés qu'en juillet et août. Voir la vidéo de Frédéric Braine sur You Tube
Le statut d’étang de pêche remonte à novembre 1965. Le lieu est le petit paradis de la Gaule brainoise. Cette association compte 34 membres (janvier 2010).
On y trouve des écrevisses mais surtout des truites, des carpes et des brochets.
1986 (9 juin): la Commune décide de mettre un terme à l'accès à la piscine.
2010 (janvier): curage de l'étang. Christian Bordin:"Les 28 ares de l’étang du Paradis sont en cours de curage. L'opération n'avait plus été effectuée depuis 12 ans. On estime qu'il faudra évacuer 750 m³ de boues. Les 5.000 m³ d'eau ont quant à eux été déversés dans le Hain. 500 kilos de poisson seront également récupérés. On y trouve des truites, des carpes et même des brochets. Habituellement, les lieux sont fréquentés par le club de pêche la Gaule brainoise. Coût total de l’opération de nettoyage : €25.000." Les poissons ont trouvé refuge dans la pataugeoire. Voir aussi l'article du Soir du 26 janvier 2010