Hôtel du Musée
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[[Fichier:Hdm_(24).jpg|600px|thumb|right| 1905 : le musée de l'Hôtel du Musée.]] | [[Fichier:Hdm_(24).jpg|600px|thumb|right| 1905 : le musée de l'Hôtel du Musée.]] | ||
- | + | [[Fichier:Hdm_(49).jpg|600px|thumb|left| Collection : Véronique Denis.]] | |
[[Fichier:Hdm_(16).JPG|600px|thumb|right|Robert ou Norbert Brassine (1907-1988) se disait "le dernier grognard de Napoléon". En 1966, il s'est rendu à Austerlitz pour commémorer le 161ème anniversaire de la bataille du même nom (Voir : http://www.waterlootv.be/Channels/chaine-communale/ctualites-belgavox.aspx). Il est enterré dans le cimetière de Joli-Bois. ''« Je confirme son prénom était bien Robert.Etant encore étudiant à l'Unif vers les années 68-69, il me demandait souvent de rédiger pour lui des lettres qu'il adressait sans aucune gêne à diverses personnalités du monde politique de Belgique mais aussi de l'étranger (De Gaulle, Mao par exemple). Il recevait souvent des réponses surtout après avoir refait le trajet de Golfe-Juan à Waterloo.(Cent jours).Je l'ai ensuite eu comme client et je me souviens que sur la fin de sa vie il se "déguisait" surtout en révolutionnaire de 1830. » (Témoignage de Pierre Chantraine)'' Photo du début des années 1970: Firmin Piraux.]] | [[Fichier:Hdm_(16).JPG|600px|thumb|right|Robert ou Norbert Brassine (1907-1988) se disait "le dernier grognard de Napoléon". En 1966, il s'est rendu à Austerlitz pour commémorer le 161ème anniversaire de la bataille du même nom (Voir : http://www.waterlootv.be/Channels/chaine-communale/ctualites-belgavox.aspx). Il est enterré dans le cimetière de Joli-Bois. ''« Je confirme son prénom était bien Robert.Etant encore étudiant à l'Unif vers les années 68-69, il me demandait souvent de rédiger pour lui des lettres qu'il adressait sans aucune gêne à diverses personnalités du monde politique de Belgique mais aussi de l'étranger (De Gaulle, Mao par exemple). Il recevait souvent des réponses surtout après avoir refait le trajet de Golfe-Juan à Waterloo.(Cent jours).Je l'ai ensuite eu comme client et je me souviens que sur la fin de sa vie il se "déguisait" surtout en révolutionnaire de 1830. » (Témoignage de Pierre Chantraine)'' Photo du début des années 1970: Firmin Piraux.]] | ||
[[Fichier:Hdm01.jpg|600px|thumb|left| 8 septembre 2001. ''"Le 8 septembre 2001, dans le cadre des Journées du Patrimoine, une malle-poste de l’époque napoléonienne a relié Waterloo à Genappe, emportant avec elle des plis timbrés officiellement et qui ont fait la joie des philatélistes. Le départ s’est effectué au Musée Wellington et l’arrivée à l’Auberge du Roi d’Espagne, qui furent jadis des relais postaux. L’attelage, composé de 4 chevaux frisons, a emprunté la chaussée de Bruxelles-Charleroi. C’était, à l’époque (dans les années 1700), la seule route pavée qui y existait. Pour l’occasion, la malle-poste a fait une halte au Bivouac, en face du Lion de Waterloo, chez Mr et Mme Brassine qui se sont vus remettre un cadeau."'' Photo et commentaire : http://www.magazinebw.be/waterloo-malle-poste/]] | [[Fichier:Hdm01.jpg|600px|thumb|left| 8 septembre 2001. ''"Le 8 septembre 2001, dans le cadre des Journées du Patrimoine, une malle-poste de l’époque napoléonienne a relié Waterloo à Genappe, emportant avec elle des plis timbrés officiellement et qui ont fait la joie des philatélistes. Le départ s’est effectué au Musée Wellington et l’arrivée à l’Auberge du Roi d’Espagne, qui furent jadis des relais postaux. L’attelage, composé de 4 chevaux frisons, a emprunté la chaussée de Bruxelles-Charleroi. C’était, à l’époque (dans les années 1700), la seule route pavée qui y existait. Pour l’occasion, la malle-poste a fait une halte au Bivouac, en face du Lion de Waterloo, chez Mr et Mme Brassine qui se sont vus remettre un cadeau."'' Photo et commentaire : http://www.magazinebw.be/waterloo-malle-poste/]] |
Version du 18 novembre 2016 à 16:41
Voir aussi : Site du Lion, Musée de Cire, Le Lion, Hôtel des Touristes, Bivouac, Hôtel de la Paix, Centre du Visiteur, Route du Lion, Panorama
1909 (5 octobre) : mise en vente publique des collections historiques du Grand Hôtel du Musée de Waterloo soit plus de 3000 pièces rassemblées par le sergent Cotton. L'hôtel, lui aussi, fut mis en vente tout comme ses 10 000 bouteilles de vin.Mais la vente provoqua une réaction des Musées français par voie de presse. Les deux séances aboutirent à une neutralisation de la dispersion des collections. Les héritiers de Madame Browne conserveront encore leur patrimoine indivis jusqu'au début des années vingt.
1931 (nuit du 8 au 9 avril) : "Un voleur s'est introduit par une fenêtre guillotine dans l'hôteldu Musée du Lion où il a volé pour une centaine de francs de chocolat. Le voleur a abandonné dans le café deux tranches de tête pressée." ("Brabant wallon" du dimanche 19 avril 1931).
1947 : le bâtiment échoit à Norbert Brassinne.
2000 : des pièces de la collection Cotton exposées au Musée Wellington. Voir l'article du Soir du mardi 27 juin 2000.
2014 (16 juillet) : un désastre au hameau du Lion. Voir l'article du Soir.be du mercredi 16 juillet 2014.