Anciens Brainois

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(Portraits divers)
 
'''Adrians Eugène (Pierre Joseph) :''' né à Braine-l'Alleud (Ménil) le 23 février 1874 et y décédé le 25 avril 1965. Surnommé " Eugène Djean d'Thomas ". Paveur puis agriculteur, il reprend à 25 ans la ferme dite de la Maloue (partie montante vers Waterloo de la rue Légère Eau après le carrefour avec la [[Rue Baty Gigot]]) où il passera toute sa vie. Epoux d'Elisa Lefevre (native de Merbraine) dont il aura 7 enfants. Veuf en 1923. L'orthographe du nom de famille reprise n'est pas erronée ! L'absence du " e " provient d'une variation entre l'acte de naissance de son père en 1831 (pas de "e") et celui de son décès !
'''Adrians Eugène (Pierre Joseph) :''' né à Braine-l'Alleud (Ménil) le 23 février 1874 et y décédé le 25 avril 1965. Surnommé " Eugène Djean d'Thomas ". Paveur puis agriculteur, il reprend à 25 ans la ferme dite de la Maloue (partie montante vers Waterloo de la rue Légère Eau après le carrefour avec la [[Rue Baty Gigot]]) où il passera toute sa vie. Epoux d'Elisa Lefevre (native de Merbraine) dont il aura 7 enfants. Veuf en 1923. L'orthographe du nom de famille reprise n'est pas erronée ! L'absence du " e " provient d'une variation entre l'acte de naissance de son père en 1831 (pas de "e") et celui de son décès !
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'''Allard Alphonse''': né à Lasne en 1857 et décédé à Braine-l'Alleud, le 24 septembre 1923. Instituteur. Conseiller communal de 1895 à 1921. Conseiller provincial. Député socialiste de 1900 à sa mort en 1923. Il a fondé la Maison du Peuple de Braine. L' [[Avenue Alphonse Allard]] porte son nom.Fondateur du socialisme à Braine-l'Alleud et les communes environnantes. Jeune instituteur, c'est en se rendant certains dimanches après-midi à la ferme de la Papelotte, alors exploitée par les frères Mathieu, qu'il rencontra, écouta et fut convaincu par Hector Denis, apôtre de la cause ouvrière. Il se décida alors de faire connaître la voix de l'espoir par une lutte en faveur du suffrage universel, pour l'instruction des démunis, afin de vaincre le fatalisme de la pauvreté et de la déchéance alcoolique, en unissant les humbles autour d'une volonté de militer pour une amélioration globale de la vie matérielle des ouvriers. La section locale du Parti Ouvrier fut créée par lui et ses proches entre 1887 et 1893, qui sont les deux dates à retenir. Il vécut en apôtre, célibataire, désintéressé, ne profita pas de son mandat de député de l'Arrondissement de Nivelles pour s'enrichir, et termina ses jours dans la plus grande simplicité, hébergé avenue Alphonse Allard 22 (actuel) chez Ernest Gerrebos (ancien employé de la gare de Braine) et Juliette Schepers. Il était resté ami avec les libéraux progressistes de Braine, ceux-ci comprenaient la valeur et la sincérité des opinions d'Alphonse Allard. Il faut aussi membre de l'Harmonie de Braine-l'Alleud. In Mémoriam Ph.B. Voir article à son propos dans Brania 2008/1.   
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'''Allard Alphonse''': né à Lasne en 1857 et décédé à Braine-l'Alleud, le 24 septembre 1923. Instituteur. Conseiller communal de 1895 à 1921. Conseiller provincial. Député socialiste de 1900 à sa mort en 1923. Il a fondé la Maison du Peuple de Braine. L' [[Avenue Alphonse Allard]] porte son nom.Fondateur du socialisme à Braine-l'Alleud et les communes environnantes. Jeune instituteur, c'est en se rendant certains dimanches après-midi à la ferme de la Papelotte, alors exploitée par les frères Mathieu, qu'il rencontra, écouta et fut convaincu par Hector Denis, apôtre de la cause ouvrière. Il se décida alors de faire connaître la voix de l'espoir par une lutte en faveur du suffrage universel, pour l'instruction des démunis, afin de vaincre le fatalisme de la pauvreté et de la déchéance alcoolique, en unissant les humbles autour d'une volonté de militer pour une amélioration globale de la vie matérielle des ouvriers. La section locale du Parti Ouvrier fut créée par lui et ses proches entre 1887 et 1893, qui sont les deux dates à retenir. Il vécut en apôtre, célibataire, désintéressé, ne profita pas de son mandat de député de l'Arrondissement de Nivelles pour s'enrichir, et termina ses jours dans la plus grande simplicité, hébergé avenue Alphonse Allard 22 (actuel) chez Ernest Gerrebos (ancien employé de la gare de Braine) et Juliette Schepers. Il était resté ami avec les libéraux progressistes de Braine, ceux-ci comprenaient la valeur et la sincérité des opinions d'Alphonse Allard. Il faut aussi membre de l'Harmonie de Braine-l'Alleud. In Mémoriam Ph.B. Voir article à son propos dans Brania 2007/2.   
'''Allard Blanche''': née à Ohain le 8 janvier 1892 et décédée le 10 juin 1975. Soeur de Allard Suzanne et André.
'''Allard Blanche''': née à Ohain le 8 janvier 1892 et décédée le 10 juin 1975. Soeur de Allard Suzanne et André.
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'''Barbieux Robert (dit "Antoine") :''' né à Macon, le 2 février 1936 et décédé à Anderlecht le jeudi 6 février 1997. Epoux de Ooghe Francine. Père de Barbieux Marie-France, Philippe, Dominique et Jean-Pierre. Sa vie aura été marquée par une succession d'événements difficiles. Ainsi, quand en 1940, son père est fusillé par les Allemands, c'est lui qui devra travailler pour assurer la subsistance de sa famille comme nombre d'enfants de l'époque. Il travaillera en été dans les champs et en hiver dans les bois. Puis à 14 ans dans une verrerie, et c'est en 1955 qu'il commence le travail dans la mine du Bois du Cazier. Le 8 août 1956 surgit le drame : Robert et d'autres mineurs tentent de fuir l'incendie de la mine en prenant une cage censée les sortir du piège. Comme elle ne démarre pas, son meilleur ami descend pour actionner la manette de commande. La cage remonte sans l'ami, sans les centaines d'autres mineurs. Les six hommes qui l'ont empruntée sont sauvés. Et puis c'est l'hécatombe : 262 disparus, 13 survivants. Robert quittera la mine peu après, marqué à jamais par cette tragédie. A habité [[Rue Vallée Bailly]]. Voir l'article du [http://archives.lesoir.be/robert-barbieux-avait-survecu-a-la-tragedie-de-marcinel_t-19970211-Z0D9XG.html Soir du 11 février 1997].
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'''Barbieux Robert (dit "Antoine") :''' né à Macon, le 2 février 1936 et décédé à Anderlecht le jeudi 6 février 1997. Epoux de Ooghe Francine. Père de Barbieux Marie-France, Philippe, Dominique et Jean-Pierre. Sa vie aura été marquée par une succession d'événements difficiles. Ainsi, quand en 1940, son père est fusillé par les Allemands, c'est lui qui devra travailler pour assurer la subsistance de sa famille comme nombre d'enfants de l'époque. Il travaillera en été dans les champs et en hiver dans les bois. Puis à 14 ans dans une verrerie, et c'est en 1955 qu'il commence le travail dans la mine du Bois du Cazier. Le 8 août 1956 surgit le drame : Robert et d'autres mineurs tentent de fuir l'incendie de la mine en prenant une cage censée les sortir du piège. Comme elle ne démarre pas, son meilleur ami descend pour actionner la manette de commande. La cage remonte sans l'ami, sans les centaines d'autres mineurs. Les six hommes qui l'ont empruntée sont sauvés. Et puis c'est l'hécatombe : 262 disparus, 13 survivants. Robert quittera la mine peu après, marqué à jamais par cette tragédie. A habité [[Rue Vallée Bailly]]. Voir l'article du [http://archives.lesoir.be/robert-barbieux-avait-survecu-a-la-tragedie-de-marcinel_t-19970211-Z0D9XG.html Soir du 11 février 1997].Voir le reportage de [http://www.tvcom.be/video/culture/expos/braine-l-alleud-un-habitant-rescape-du-bois-du-cazier_18425_89.html TV Com du mardi 25 octobre 2016].
'''Baveye Joseph''' : né le 5 mars 1926 et décédé le 29 janvier 2006. Epoux de André Gisèle. A habiré [[Rue du Charron]],127.
'''Baveye Joseph''' : né le 5 mars 1926 et décédé le 29 janvier 2006. Epoux de André Gisèle. A habiré [[Rue du Charron]],127.
'''Bertoux Marguerite''' : née à Wauthier-Braine le 19 octobre 1920 et décédée à Braine-l'Alleud le 30 novembre 2010. Epoux de Rousseau Armand.
'''Bertoux Marguerite''' : née à Wauthier-Braine le 19 octobre 1920 et décédée à Braine-l'Alleud le 30 novembre 2010. Epoux de Rousseau Armand.
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'''Bilande Léon''' Joseph : né à Mont-Saint-André (prov.de Namur) le 28 mars 1887 et décédé à Jurbise le 15 février 1978. Fils de Louis Bilande et de Félicie Denil. Exploitant agricole [[Chaussée de Nivelles]] (ferme dite "Mathias" démolie en 1972 pour l'assiette du Ring), électricien. Président de l'association colombophile " Le Ramier " entre 1918 et 1968 et président de la Fédération belge des associations colombophiles jusqu'à cette date. Il finit ses jours en famille loin de Braine où il a vécu presque toute sa vie. Epoux de Marie Bernier ( " Mathias ")le 11 novembre 1911, il n'aura que son seul fils Louis (1912-1986) comme descendance.   
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'''Bilande Léon''' Joseph : né à Mont-Saint-André (prov.de Namur) le 28 mars 1887 et décédé à Jurbise le 15 février 1978. Fils de Louis Bilande et de Félicie Denil. Exploitant agricole [[Chaussée de Nivelles]] (ferme dite "Mathias" démolie en 1975 pour l'assiette du Ring), électricien. Président de l'association colombophile " Le Ramier " entre 1918 et 1968 et président de la Fédération belge des associations colombophiles jusqu'à cette date. Il finit ses jours en famille loin de Braine où il a vécu presque toute sa vie. Epoux de Marie Bernier ( " Mathias ")le 11 novembre 1911, il n'aura que son seul fils Louis (1912-1986) comme descendance.   
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'''Bilande Louis''' Joseph : né à Saint-Germain (prov.de Namur) le 21 juin 1861 et décédé à Braine-l'Alleud le 31 juillet 1937. Après avoir été Maréchal des Logis (régiment du Train) il devient gardien du Lion et s'installe au pied de la butte dans les années 1890. Ensuite tour à tour marchand de bois puis hôtelier ([[Hôtel de la Paix]]) sur le site du Lion. Epouse à Saint-Germain Félicie Denil, il aura 7 enfants.
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'''Bilande Louis''' Joseph : né à Saint-Germain (prov.de Namur) le 21 juin 1861 et décédé à Braine-l'Alleud le 31 juillet 1937. Après avoir été Maréchal des Logis (régiment du Train) il devient gardien du Lion et s'installe au pied de la butte dans les années 1890.D'après les archives familiales (voir site de Michel Vandekerckhove sur généanet) il réside rue Colo-Hughes n°4 en 1893. Ensuite tour à tour marchand de bois puis hôtelier ([[Hôtel de la Paix]]) sur le site du Lion. Epouse à Saint-Germain Félicie Denil, il aura 7 enfants.
'''Bodenghien Alfred''' : né à Braine-l'Alleud, le 9 février 1855 et y décédé le 19 mars 1921.Fils aîné de Jean-Baptiste et de Victoire Michiels. Maréchal-ferrant.
'''Bodenghien Alfred''' : né à Braine-l'Alleud, le 9 février 1855 et y décédé le 19 mars 1921.Fils aîné de Jean-Baptiste et de Victoire Michiels. Maréchal-ferrant.
'''Botte Michel''' : né à Bois-Seigneur-Isaac le 13 février 1925 et fusillé par les Allemands à Maransart le 5 septembre 1944. Fils de Botte Georges et de Viseur Léonie. Membre de l'Armée Secrète pendant la guerre 40-45. La [[Rue Michel Botte]] porte son nom en son souvenir.
'''Botte Michel''' : né à Bois-Seigneur-Isaac le 13 février 1925 et fusillé par les Allemands à Maransart le 5 septembre 1944. Fils de Botte Georges et de Viseur Léonie. Membre de l'Armée Secrète pendant la guerre 40-45. La [[Rue Michel Botte]] porte son nom en son souvenir.
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'''Boucqueau Achille''' Charles Florent Ghislain : né à Braine-l'Alleud le 3 novembre 1866 et décédé à Nivelles le 29 avril 1931. Fils de Charles-Albert Boucqueau et de Flore Philippe. Propriétaire et rentier, né au château du Ménil, il épouse Berthe Delhaize (la soeur des fondateurs des grands magasins Delhaize Le Lion) le 26 avril 1898 à Saint-Josse-ten-Noode (commune natale de Berthe). Ils ont deux fils et une fille: Charles né le 19 mars 1899, Adolphe né (à Saint-Josse) le 19 mars 1900 (parrain : Adolphe Delhaize) et Ghislaine Simone Joséphine née le 14 janvier 1902. Achille Boucqueau avait diversifié ses avoirs immobiliers et investi aussi dans une industrie textile de Flandre Orientale. Il s'estimait trop imposé et avait introduit une réclamation auprès de l'administration communale de Braine-l'Alleud dans le courant de l'année 1904. N'ayant pas obtenu satisfaction, il quitta la commune et s'installa à Nivelles dans le courant de l'année 1906.Il y resta jusqu'à son décès, louant à différentes personnes sa propriété brainoise, notamment la partie des sources et les étangs au docteur Delpierre (eau minérale " La légère Eau") et la demeure à différents fermiers.   
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'''Boucqueau Achille''' Charles Florent Ghislain : né à Braine-l'Alleud le 3 novembre 1866 et décédé à Nivelles le 29 avril 1931. Fils de Charles-Albert Boucqueau et de Flore Philippe. Propriétaire et rentier, né au château du Ménil, il épouse Berthe Delhaize (la nièce des fondateurs des grands magasins Delhaize Le Lion) le 26 avril 1898 à Saint-Josse-ten-Noode (commune natale de Berthe). Ils ont deux fils et une fille: Charles né le 19 mars 1899, Adolphe né (à Saint-Josse) le 19 mars 1900 (parrain : Adolphe Delhaize) et Ghislaine Simone Joséphine née le 14 janvier 1902. Achille Boucqueau avait diversifié ses avoirs immobiliers et investi aussi dans une industrie textile de Flandre Orientale. Il s'estimait trop imposé et avait introduit une réclamation auprès de l'administration communale de Braine-l'Alleud dans le courant de l'année 1904. N'ayant pas obtenu satisfaction, il quitta la commune et s'installa à Nivelles dans le courant de l'année 1906.Il y resta jusqu'à son décès, louant à différentes personnes sa propriété brainoise, notamment la partie des sources et les étangs au docteur Delpierre (eau minérale " La légère Eau") et la demeure à différents fermiers.   
'''Bourguignon Lambertine''' : née à Binche et décédée à Braine-l'Alleud, le 25 novembre 1883 à l'âge de 86 ans et 8 mois. Epouse de Grosse Emmanuel-André.
'''Bourguignon Lambertine''' : née à Binche et décédée à Braine-l'Alleud, le 25 novembre 1883 à l'âge de 86 ans et 8 mois. Epouse de Grosse Emmanuel-André.
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'''Bourgys Jean-François''' : né à Braine-l'Alleud le 12 mars 1817 et y décédé le 8 juin 1878. Fils de Jean-Joseph Bourgys et de Marie Cécile Delaby. Epoux de Marie Appolonie Herman. Tisserand et cultivateur à Paudure. 
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L'orthographe du nom Bourgys a varié : Bourghys, Bourgheys, Bourgys. Ceci est dû, entre autre, au fait que les wallons de Braine-l'Alleud nommaient invariablement ces patronymes de " Bourgage " et rarement Bourgys. Il faut donc, en matière de généalogie, à chaque cas, vérifier la filiation pour être affirmatif à propos de telle ou telle personne d'un patronyme dont l'écriture fluctue.
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'''Brassine Raymond''' : né à Braine-l'Alleud en 1909 et y décédé le 7 juillet 1967. Epoux de Hautfenne Georgette. Père de Brassinne Michel et Suzy. Entrepreneur de travaux publics dès la fin de la seconde guerre mondiale, il est la cheville ouvrière du rapprochement et du jumelage avec la municipalité d'Ouistreham-Riva Bella (Calvados-France). En 1959, il devient conseiller communal et en 1965, bourgmestre. Il décéda d'un cancer foudroyant. Il a eu le temps d'initier l'ébauche de ce que Braine-l'Alleud est devenu ensuite : une cité d'accueil pour les candidats résidants de plus en plus attirés par la campagne proche de la capitale et un nouveau réseau d'entreprises se développant suite à la crise et à la fermeture des usines textiles qui avaient fait la fortune de la bourgeoisie locale. ( Source: Philippe Buchelot dans [["Aux urnes, citoyens : les élections communales et la vie politique locale à Braine-l'Alleud de 1830 à 2006" (Revue Brania - 2006/2007)]] ). Une avenue lui a été dédiée, l'[[Avenue Raymond Brassine]]
'''Brassine Raymond''' : né à Braine-l'Alleud en 1909 et y décédé le 7 juillet 1967. Epoux de Hautfenne Georgette. Père de Brassinne Michel et Suzy. Entrepreneur de travaux publics dès la fin de la seconde guerre mondiale, il est la cheville ouvrière du rapprochement et du jumelage avec la municipalité d'Ouistreham-Riva Bella (Calvados-France). En 1959, il devient conseiller communal et en 1965, bourgmestre. Il décéda d'un cancer foudroyant. Il a eu le temps d'initier l'ébauche de ce que Braine-l'Alleud est devenu ensuite : une cité d'accueil pour les candidats résidants de plus en plus attirés par la campagne proche de la capitale et un nouveau réseau d'entreprises se développant suite à la crise et à la fermeture des usines textiles qui avaient fait la fortune de la bourgeoisie locale. ( Source: Philippe Buchelot dans [["Aux urnes, citoyens : les élections communales et la vie politique locale à Braine-l'Alleud de 1830 à 2006" (Revue Brania - 2006/2007)]] ). Une avenue lui a été dédiée, l'[[Avenue Raymond Brassine]]
'''Chanoine Alain''': né à Fizi (Congo belge) le 18 janvier 1960 et décédé accidentellement à Plancenoit le 23 août 1981. Fils de Chanoine Jean-Marie et de Hachez ?. Frère de Chanoine Guy, Yves, Francis, Didier et Nathalie. A habité [[Avenue de la Paix]], 32.
'''Chanoine Alain''': né à Fizi (Congo belge) le 18 janvier 1960 et décédé accidentellement à Plancenoit le 23 août 1981. Fils de Chanoine Jean-Marie et de Hachez ?. Frère de Chanoine Guy, Yves, Francis, Didier et Nathalie. A habité [[Avenue de la Paix]], 32.
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'''Charlier Antoine''': né à Vieux-Genappe le 30 novembre 1796, épouse Emerance Gerrebos (veuve de Philippe Croquet et mère du futur abbé Croquet) en secondes noces, fut fermier de Tout-lui-Faut (Ermite) de 1820 à 1863, cultivateur propriétaire et conseiller communal de 1823 à 1836 et de 1841 à 1881, il fut aussi échevin catholique de Braine-l'Alleud de 1869 à 1881. De 1863 à son décès, il résida rue des Jambes (actuelle petite rue des Marolles). Père de famille nombreuse, il eut notamment pour descendance, le curé de Virginal Anthîme Charlier, le docteur en médecine Louis Charlier, Antoinette et Emerance Soeurs de Marie (voir ci-dessous) etc....
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'''Charlier Antoine''': né à Vieux-Genappe le 30 novembre 1796 et décédé à Braine-l'Alleud le 3 mars 1886. Fils de Pierre Philippe Charlier et de Hyacinthe Glibert, ses parents résident quelques années plus tard à Villers-la-Ville où Antoine grandit. Il épouse le 13 septembre 1820 à 4 heures du matin (en effet : pourquoi attendre ?!)  Emerance Gerrebos alors jeune veuve de Philippe Croquet et mère du futur abbé Croquet ainsi que de Barbe Croquet (future mère du Cardinal Mercier) Ensemble, le nouveau couple cultivent à la ferme de Tout-lui-Faut (Ermite) de 1820 à 1863. Ils sont cultivateurs propriétaires, très actifs.Rapidement intégré, instruit, Antoine Charlier devient aussi conseiller communal de 1823 à 1836 et de 1841 à 1881. il fut aussi échevin catholique de Braine-l'Alleud de 1869 à 1881. Parmi ses fonctions, il se charge notamment de l'Etat-civil, signant ainsi de très nombreux actes et officie à de nombreux mariages. De 1863 à son décès, il résida rue des Jambes n° 24 (actuelle petite rue des Marolles). Père de famille nombreuse, il eut notamment pour descendance, le curé de Virginal Anthîme Charlier, le docteur en médecine Louis Charlier, Antoinette et Emerance Soeurs de Marie (voir ci-dessous).  
'''Charlier Antoinette''' Elisabeth Emerance (Soeur Marie-Angèle): née à Braine-l'Alleud le 29 décembre 1822 et décédée au couvent des Soeurs de Marie à Braine-l'Alleud le 25 juin 1900 dans la 77ème année de son âge et la 47ème de sa vie religieuse. Fille d'Antoine Charlier et d'Emerance Gerrebos.
'''Charlier Antoinette''' Elisabeth Emerance (Soeur Marie-Angèle): née à Braine-l'Alleud le 29 décembre 1822 et décédée au couvent des Soeurs de Marie à Braine-l'Alleud le 25 juin 1900 dans la 77ème année de son âge et la 47ème de sa vie religieuse. Fille d'Antoine Charlier et d'Emerance Gerrebos.
'''Diesbeck Fernand''': né à Braine-l'Alleud le 25 février 1901 et y décédé le 4 juin 1921.
'''Diesbeck Fernand''': né à Braine-l'Alleud le 25 février 1901 et y décédé le 4 juin 1921.
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'''Draguet Adolphe''' : né à Braine-l'Alleud le 1er mai 1812 et y décédé le 21 juillet 1885. Fils de Jean-Joachim Draguet et de Catherine Berrière. Fabricant de bas, ensuite commerçant et cabaretier. Epoux de Eugénie Augustine De Rue, petite-fille du fermier du Ménil, Adrien De Rue, ils s'établissent face à la chapelle Notre-Dame-des-Fièvres, au Ménil, entre 1837 et 1845 où ils ont leurs 7 enfants. Ensuite, ils achètent et résident rue du château n° 14. Fondateur, avec son fils Auguste, de la maison de commerce Draguet, qui s'orienta surtout vers la quincaillerie.
'''Draguet Jean Joachim''' : né à Braine-l'Alleud le 21 décembre 1838 et décédé à Cortil-Noirmont le 29 août 1886. Fils d' Adolphe Joseph Draguet fabricant de bas et d' Eugénie Augustine De Rue, Jean Joachim est né au Ménil (face à la Chapelle Notre-Dame des Fièvres) comme sa soeur cadette Sidonie, ses parents étaient locataires de Prosper Gouttier. Il fait son séminaire à Malines et est ordonné prêtre dans cette ville le 23 décembre 1865. Le 9 janvier 1866 il devient vicaire à Braine-l'Alleud où il retrouve Adolphe Hoofs le curé qui lui a inculqué les premiers rudiments de l'éducation catholique. Il reste son plus proche adjoint, notamment lors de la lutte scolaire en 1879. Il est cependant nommé Curé à Cortil-Noirmont le 19 mars 1880. L'enquête sur l'application de la loi Van  Humbeek (voir la notice sur le Curé-Doyen Hoofs) dénonce son caractère rigoureux et ultramontain comme exemple d'un catholicisme sévère et radical.  
'''Draguet Jean Joachim''' : né à Braine-l'Alleud le 21 décembre 1838 et décédé à Cortil-Noirmont le 29 août 1886. Fils d' Adolphe Joseph Draguet fabricant de bas et d' Eugénie Augustine De Rue, Jean Joachim est né au Ménil (face à la Chapelle Notre-Dame des Fièvres) comme sa soeur cadette Sidonie, ses parents étaient locataires de Prosper Gouttier. Il fait son séminaire à Malines et est ordonné prêtre dans cette ville le 23 décembre 1865. Le 9 janvier 1866 il devient vicaire à Braine-l'Alleud où il retrouve Adolphe Hoofs le curé qui lui a inculqué les premiers rudiments de l'éducation catholique. Il reste son plus proche adjoint, notamment lors de la lutte scolaire en 1879. Il est cependant nommé Curé à Cortil-Noirmont le 19 mars 1880. L'enquête sur l'application de la loi Van  Humbeek (voir la notice sur le Curé-Doyen Hoofs) dénonce son caractère rigoureux et ultramontain comme exemple d'un catholicisme sévère et radical.  
'''Gailly Georgette''' : née à Ophain le 8 juillet 1920 et décédée à Braine-l'Alleud, le 22 décembre 2012. Epouse de Deridder Vital. Maman de Deridder André et Liliane.
'''Gailly Georgette''' : née à Ophain le 8 juillet 1920 et décédée à Braine-l'Alleud, le 22 décembre 2012. Epouse de Deridder Vital. Maman de Deridder André et Liliane.
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'''Geerts Emile''' : né à Braine-l'Alleud le 22 juillet 1920 et y décédé le 28 octobre 2003. Fils de Gustave Geerts et de Zélie Huriaux. Employé communal de la fin de la seconde guerre mondiale jusqu'à sa retraite en 1985. Musicien à l'Harmonie de Mont-Saint-Pont de 1928 à 1935 (clarinettiste). Epoux d' Esther Adrians (fille d'Alfred Adrians et d'Alida Goesens), ils ont eu deux enfants. Habitait Sart-Moulin, rue Hyppolite n°7.
'''Gérard Gustave''': né à Bruxelles le 31 octobre 1863 et décédé à Braine-l'Alleud le 8 août 1937. Epoux de Valentine Tasson avec qui il eut deux filles, Ghislaine et Suzanne. Second fils d'Hilaire père et de Julie Spelkens. Industriel, propriétaire foncier, il fit bâtir le " château de Mont-Saint-Pont" en 1898.Il est directeur du tissage de Mont-Saint-Pont, où il met au point et fait breveter un nouvel outillage mécanique avec son contre-maître Schneider. Il vécut dans son château avec sa famille et ses deux frères cadets, Jules et Léon. Avec la crise financière et économique du début des années 1930, il décide de vendre son usine après 1934. Officier d'Académie des Arts et Métiers, il participait aux concours de fins d'études des métiers industriels.   
'''Gérard Gustave''': né à Bruxelles le 31 octobre 1863 et décédé à Braine-l'Alleud le 8 août 1937. Epoux de Valentine Tasson avec qui il eut deux filles, Ghislaine et Suzanne. Second fils d'Hilaire père et de Julie Spelkens. Industriel, propriétaire foncier, il fit bâtir le " château de Mont-Saint-Pont" en 1898.Il est directeur du tissage de Mont-Saint-Pont, où il met au point et fait breveter un nouvel outillage mécanique avec son contre-maître Schneider. Il vécut dans son château avec sa famille et ses deux frères cadets, Jules et Léon. Avec la crise financière et économique du début des années 1930, il décide de vendre son usine après 1934. Officier d'Académie des Arts et Métiers, il participait aux concours de fins d'études des métiers industriels.   
Il devient ensuite patron teinturier et n'a de cesse d'améliorer ses connaissances en matière de commerce et d'industrie. Avec son fils Edmond Jacobs, il fonde ainsi la maison du Blanc sur coton Jacobs père et fils vers 1875- 80. Il aura deux épouses : Amélie de Hennault et Anne-Marie Poulet et de nombreux enfants, dont Edmond industriel et Léon conseiller communal et échevin, bourgmestre de Braine-l'Alleud de 1912 à 1921. Il fut militant libéral, mais aussi fervent croyant, conseiller communal libéral de 1882 à 1895. Président de l'Association des anciens militaires sous Léopold 1er de 1896 à son décès.
Il devient ensuite patron teinturier et n'a de cesse d'améliorer ses connaissances en matière de commerce et d'industrie. Avec son fils Edmond Jacobs, il fonde ainsi la maison du Blanc sur coton Jacobs père et fils vers 1875- 80. Il aura deux épouses : Amélie de Hennault et Anne-Marie Poulet et de nombreux enfants, dont Edmond industriel et Léon conseiller communal et échevin, bourgmestre de Braine-l'Alleud de 1912 à 1921. Il fut militant libéral, mais aussi fervent croyant, conseiller communal libéral de 1882 à 1895. Président de l'Association des anciens militaires sous Léopold 1er de 1896 à son décès.
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'''Joinneau Pierre''' : né à Sint-Pieters-Capelle,Flandre Occidentale (actuellement fusionnée avec Middelkerke) le 23 février 1848 et décédé à Braine-l'Alleud le 19 novembre 1933. Fils de Jean-Baptiste Joinneau et de Dorothée De Weyer. Pierre surnommé Pierre del Barrière, a été le premier garde-barrière de Braine-l'Alleud, entré en fonction à la gare le 10 mars 1874, date de son inscription au domicile dans la Station, alors construite. Il résida un peu plus tard, dans la maison située le long des voies côté nord, vers Mont-Saint-Jean (située à l'époque au n° 9 Sainte-Marie-Madeleine, comprenez la Patte de Poule). Il fera fonction de garde-barrière pendant un peu plus de 10 ans. Il change de fonction et devient maître des aiguillages, assurant la bonne conduite de l'important trafic de marchandises qui s'intercale avec les  deux lignes de passagers (124 et 115)à partir de 1885. Il fait construire en 1895-96 une des maisons qui borde la place de la Station (et bouche le passage à l'actuel Pont Courbe) y établissant le reconnu café de la Barrière. Coin préféré des cheminots. Il laisse alors la maison du garde à son successeur Charles-Louis Dehennault. Il a épousé Marie Alphonsine Paduwat et ils ont eu 6 enfants, tous nés et établis à Braine-l'Alleud et dans les environs. Son père, ouvrier agricole west-flandrien est venu aussi résider avec son fils et est mort à Braine-l'Alleud le 31 décembre 1878.   
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'''Joinneau Pierre''' : né à Sint-Pieters-Capelle,Flandre Occidentale (actuellement fusionnée avec Middelkerke) le 23 février 1848 et décédé à Braine-l'Alleud le 19 novembre 1933. Fils de Jean-Baptiste Joinneau et de Dorothée De Weyer. Pierre surnommé Pierre del Barrière, a été le premier garde-barrière de Braine-l'Alleud, entré en fonction à la gare le 10 mars 1874, date de son inscription au domicile dans la Station, alors construite. Il résida un peu plus tard, dans la maison située le long des voies côté nord, vers Mont-Saint-Jean (située à l'époque au n° 9 Sainte-Marie-Madeleine, comprenez la Patte de Poule). Il fera fonction de garde-barrière pendant un peu plus de 10 ans. Il change de fonction et devient maître des aiguillages, assurant la bonne conduite de l'important trafic de marchandises qui s'intercale avec les  deux lignes de passagers (124 et 115)à partir de 1885. Il fait construire en 1895-96 une des maisons qui borde la place de la Station (et bouche le passage à l'actuel Pont Courbe) y établissant le reconnu café de la Barrière. Coin préféré des cheminots. Il laisse alors la maison du garde à son successeur Charles-Louis Dehenneau. Il a épousé Marie Alphonsine Paduwat et ils ont eu 6 enfants, tous nés et établis à Braine-l'Alleud et dans les environs. Son père, ouvrier agricole west-flandrien est venu aussi résider avec son fils et est mort à Braine-l'Alleud le 31 décembre 1878.   
'''Joniaux Ignace''' : né à Braine-l'Alleud le 29 mars 1812 et y décédé le 13 mars 1900 (à 22 heures). Fils de Théodore Joniaux et de Jeanne Ipersiel. Menuisier et cordonnier, il est le connu comme le dernier combattant volontaire brainois des journées de la Révolution Belge de 1830. Le dernier, puisqu'il était le plus jeune, mais aussi, le dernier survivant brainois de cette épopée sociale et politique. Entré rapidement à l'Harmonie de Braine, il lui revient l'honneur de chanter la Brabançonne lors de toutes les manifestations officielles. Il est nommé comme Président de la Société de Militaires décorés, enrôlés sous le règne de Léopold Ier. Il est un des trois volontaires mis à l'honneur lors de la remise officielle du drapeau de cette société par le Ministre de la Guerre Brassinne, le 23 août 1896. Il a résidé presque toute sa vie à Braine-l'Alleud, et à Genappe pendant quelques années au début de son mariage (aux alentours de 1840). Il était propriétaire du numéro 10 de la rue du Château.
'''Joniaux Ignace''' : né à Braine-l'Alleud le 29 mars 1812 et y décédé le 13 mars 1900 (à 22 heures). Fils de Théodore Joniaux et de Jeanne Ipersiel. Menuisier et cordonnier, il est le connu comme le dernier combattant volontaire brainois des journées de la Révolution Belge de 1830. Le dernier, puisqu'il était le plus jeune, mais aussi, le dernier survivant brainois de cette épopée sociale et politique. Entré rapidement à l'Harmonie de Braine, il lui revient l'honneur de chanter la Brabançonne lors de toutes les manifestations officielles. Il est nommé comme Président de la Société de Militaires décorés, enrôlés sous le règne de Léopold Ier. Il est un des trois volontaires mis à l'honneur lors de la remise officielle du drapeau de cette société par le Ministre de la Guerre Brassinne, le 23 août 1896. Il a résidé presque toute sa vie à Braine-l'Alleud, et à Genappe pendant quelques années au début de son mariage (aux alentours de 1840). Il était propriétaire du numéro 10 de la rue du Château.
'''Laus Roger''' : né à Tubize le 28 octobre 1911 et décédé à Nivelles le 1er octobre 1971. Fils de Laus Georges et de Degols Maria. Epoux de Vanderplanck Marie. Père de Laus Jean-Marie. Membre du conseil communal d'Ophain durant plus de 18 ans et décédé alors qu'il exerçait les fonctions de premier échevin. Une rue porte son nom à Ophain.
'''Laus Roger''' : né à Tubize le 28 octobre 1911 et décédé à Nivelles le 1er octobre 1971. Fils de Laus Georges et de Degols Maria. Epoux de Vanderplanck Marie. Père de Laus Jean-Marie. Membre du conseil communal d'Ophain durant plus de 18 ans et décédé alors qu'il exerçait les fonctions de premier échevin. Une rue porte son nom à Ophain.
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'''Le Boulengé Elise''' : décédée à Braine-l'Alleud le 4 mai 1913 à l'âge de 78 ans. Epouse de Boulvin Charles. Membre du tiers-ordre de Saint-François d'Assise.
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'''Le Boulengé Elise''' : décédée à Braine-l'Alleud le 4 mai 1913 à l'âge de 78 ans. Epouse de Boulvin Charles. Membre du tiers-ordre de Saint-François d'Assise.  
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'''Leclercq Fernand''' Alphonse Victor Ghislain, né à Wauthier-Braine le 17 septembre 1892 et décédé à Braine-l'Alleud le 23 février 1958. Fils de Victor Joseph Ghislain Leclercq et de Marie Elisa Wastiaux tous deux natifs de Braine-le-Château.Epoux de Flore Devreux avec laquelle il a deux filles, Berthe et Denise. Après avoir fait des études commerciales, Fernand Leclercq s'associe avec l'ingénieur textile Fernand Lefevre pour fonder la firme des " Tresses du Brabant " chaussée d'Alsemberg (l'actuel ensemble commercial du 421) qui ouvre ses portes en 1923.
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Fernand Leclercq sera toute sa vie durant, l'Administrateur Délégué de la Société Anonyme Tresses du Brabant. Son beau-fils Louis Lefevre (voir plus bas) lui succède à la direction de l'usine à son décès. Il réside au 231 chaussée d'Alsemberg, dans une propriété en surplomb de la route. C'est là notamment qu'il abrite durant la seconde guerre mondiale des aviateurs et des résistants français de passag e dans notre commune. Ce qui lui vaudra une Médaille de la Reconnaissance Française. Il est aussi titulaire d'autres distinctions honorifiques,dont le titre de Chevalier de l'Ordre de Léopold et de l'Ordre de la Couronne. Il réside au 286 de la chaussée d'Alsemberg à la date de son décès.  
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'''Lefèbre Paule''' : née à Braine-l'Alleud le 22 janvier 1928 et y décédée le 20 janvier 2011. Epouse de Bernier Jacques. Maman de Bernier Monique, Michèle et Christian.
'''Lefèbre Paule''' : née à Braine-l'Alleud le 22 janvier 1928 et y décédée le 20 janvier 2011. Epouse de Bernier Jacques. Maman de Bernier Monique, Michèle et Christian.
'''Lefèvre Jules''' : né à Braine-l'Alleud le 10 décembre 1858 et décédé à l'hôpital de Buscheydt (?) le 11 janvier 1919. Il fut ramené à Braine-l'Alleud le 2 mai 1923 et inhumé le dimanche 6 mai 1923. Epoux de Dieudonné Thérèse. Ouvrier agricole habitant à Merbraine. Réquisitionné par les Allemands en octobre 1918 pour conduire un attelage, il fut écrasé par son chariot. Source : "Les Combattants et déportés de la Guerre 14-18 à Braine-l'Alleud, Ophain-Bois-Seigneur-Isaac et Lillois-Witterzée par Jean Bosse (Novembre 1993).
'''Lefèvre Jules''' : né à Braine-l'Alleud le 10 décembre 1858 et décédé à l'hôpital de Buscheydt (?) le 11 janvier 1919. Il fut ramené à Braine-l'Alleud le 2 mai 1923 et inhumé le dimanche 6 mai 1923. Epoux de Dieudonné Thérèse. Ouvrier agricole habitant à Merbraine. Réquisitionné par les Allemands en octobre 1918 pour conduire un attelage, il fut écrasé par son chariot. Source : "Les Combattants et déportés de la Guerre 14-18 à Braine-l'Alleud, Ophain-Bois-Seigneur-Isaac et Lillois-Witterzée par Jean Bosse (Novembre 1993).
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'''Lefèvre  Louis''' : né à Braine-le-Château le 11 novembre 1923 et décédé à Braine-l'Alleud le 10 février 2007. Industriel, il est le directeur financier et commercial de l'usine des Tresses de Brabant de Mont-Saint-Pont, durant toute sa carrière, jusqu'à la disparition de la firme en 1977. Il épousa en premières noces Berthe Leclercq, fille du directeur de la dite usine, et dans les dernières années de sa vie, Tatiana Sokolova. Président d'honneur de la FNC de Braine-l'Alleud, il fut aussi conseiller communal et échevin des finances de Braine-l'Alleud, élu en octobre 1964 dans la liste PLP de Raymond Brassinne. Il fut nommé échevin le 11 janvier 1965 et le reste jusqu'à la fin de 1970. Suite aux désaccords intervenus au sein du PLP local (voir BRANIA 2006/2 - 2007/1, revue du Cercle d'Histoire et de Généalogie de Braine-l'Alleud, parution nommée : Aux Urnes, citoyens ! pages 84 à 86) en 1967, suite au décès de Raymond Brassinne, Louis Lefevre abandonne la vie politique fin 1970. Deux enfants nés du premier mariage : Bernard et Françoise Lefevre.
 
'''Lefèvre Marie''' : née à Braine-l'Alleud le 5 janvier 1817 et y décédée le 17 mai 1897. Epouse de Pierre Timmermans. Elle était "tierçaire"(?) de saint François d'Assise.
'''Lefèvre Marie''' : née à Braine-l'Alleud le 5 janvier 1817 et y décédée le 17 mai 1897. Epouse de Pierre Timmermans. Elle était "tierçaire"(?) de saint François d'Assise.
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'''Paduwat Marie ''' Alphonsine : née à Marcq (fusionnée actuellement avec Enghien) le 21 octobre 1851 et décédée à Braine-l'Alleud le 4 mars 1915. Fille de Jean-Baptiste Paduwat et de Marie Thérèse Marin (celle-ci native de Sint-Pieters-Capelle). Epouse du premier garde-barrière Pierre Joinneau, elle est venue résider à Braine-l'Alleud dès les premiers jours de la mise en service de la ligne 124. Marie tenait le café de la Barrière, Station n° 12, où se retrouvaient les cheminots en fonction à Braine de 1896 à son décès. L'occupation allemande de notre commune aggrava sa santé. Elle eut 6 enfants qui vécurent à Braine ou dans les environs.
'''Paesmans Louis''' : né à Ophain-Bois-Seigneur le 31 mai 1900 et décédé à Braine-l'Alleud le 5 mars 1971. Meunier, conseiller communal PSC et bourgmestre de Braine-l'Alleud. Fils de Cassien Paesmans, natif de Braine-l'Alleud et de Marie Demeur, native d'Ophain, il grandit dans la commune maternelle où son père a été nommé instituteur communal dans la dernière décennie du XIXème siècle. Les Paesmans reviennent à Braine à la fin de septembre 1921 où Louis reprend le métier de meunier, après le décès d'un de ses oncles. C'est donc à Sart-Moulin, près du Hain et non loin de la chaussée de Tubize qu'il exerce son métier, dans un quartier partagé entre les industries et l'agriculture.Il a épousé Marthe Jossart native d'Ophain également.  Lorsque après la seconde guerre mondiale son fils René (né en 1925)reprend une majeure partie de l'activité ancestrale, il n'hésite plus à se présenter aux élections communales, sur les rangs du PSC local alors emmené par le Baron Raymond Snoy et Lise-Marie Désirant, locomotives de la liste de 1952. Il réalise d'emblée le troisième score en votes de préférences. A l'écart de l'incendie provoqué par la question royale, il rallie les scrutins de tous ceux qui veulent tourner la page et voir l'avenir communal s'inscrire dans une logique saine d'amélioration du sort de chacun. Son charisme simple et sain convaincra. Tête de liste PSC en 1958 (second score préférentiel) c'est lui qui rallie les 3 mousquetaires (André Glibert, Emile Désirant et Charles Van Gucht) formant en 1964, le pôle le plus solide des partis traditionnels, face aux socialistes alors en crise, et aux libéraux, fragiles derrière le ténor que fut Raymond Brassinne. D'où découle alors le changement de majorité, historique, auquel il participa pleinement. Au décès de Raymond Brassinne, gardant patience et sang-froid, les 3 mousquetaires proposent alors sa nomination " pour ramener le calme " et devant les divisions libérales, devient Bourgmestre par arrêté royal du 15 décembre 1967. Reconduit après les élections communales d'octobre 1970, mais épuisé physiquement, il entame son second mandat à la tête de la commune, mais décède quelques mois plus tard. Président d'honneur de l'Harmonie de Mont-Saint-Pont après la seconde guerre mondiale.  
'''Paesmans Louis''' : né à Ophain-Bois-Seigneur le 31 mai 1900 et décédé à Braine-l'Alleud le 5 mars 1971. Meunier, conseiller communal PSC et bourgmestre de Braine-l'Alleud. Fils de Cassien Paesmans, natif de Braine-l'Alleud et de Marie Demeur, native d'Ophain, il grandit dans la commune maternelle où son père a été nommé instituteur communal dans la dernière décennie du XIXème siècle. Les Paesmans reviennent à Braine à la fin de septembre 1921 où Louis reprend le métier de meunier, après le décès d'un de ses oncles. C'est donc à Sart-Moulin, près du Hain et non loin de la chaussée de Tubize qu'il exerce son métier, dans un quartier partagé entre les industries et l'agriculture.Il a épousé Marthe Jossart native d'Ophain également.  Lorsque après la seconde guerre mondiale son fils René (né en 1925)reprend une majeure partie de l'activité ancestrale, il n'hésite plus à se présenter aux élections communales, sur les rangs du PSC local alors emmené par le Baron Raymond Snoy et Lise-Marie Désirant, locomotives de la liste de 1952. Il réalise d'emblée le troisième score en votes de préférences. A l'écart de l'incendie provoqué par la question royale, il rallie les scrutins de tous ceux qui veulent tourner la page et voir l'avenir communal s'inscrire dans une logique saine d'amélioration du sort de chacun. Son charisme simple et sain convaincra. Tête de liste PSC en 1958 (second score préférentiel) c'est lui qui rallie les 3 mousquetaires (André Glibert, Emile Désirant et Charles Van Gucht) formant en 1964, le pôle le plus solide des partis traditionnels, face aux socialistes alors en crise, et aux libéraux, fragiles derrière le ténor que fut Raymond Brassinne. D'où découle alors le changement de majorité, historique, auquel il participa pleinement. Au décès de Raymond Brassinne, gardant patience et sang-froid, les 3 mousquetaires proposent alors sa nomination " pour ramener le calme " et devant les divisions libérales, devient Bourgmestre par arrêté royal du 15 décembre 1967. Reconduit après les élections communales d'octobre 1970, mais épuisé physiquement, il entame son second mandat à la tête de la commune, mais décède quelques mois plus tard. Président d'honneur de l'Harmonie de Mont-Saint-Pont après la seconde guerre mondiale.  
'''Sansterre Justinien''' : né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1866 et y décédé le lundi 9 décembre 1912. Epoux de Castiaux Coralie. Décoré de la Médaille industrielle de 2ème classe.
'''Sansterre Justinien''' : né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1866 et y décédé le lundi 9 décembre 1912. Epoux de Castiaux Coralie. Décoré de la Médaille industrielle de 2ème classe.
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'''Schepers Constant-Joseph''' : né à Grez-Doiceau en février 1849 et décédé à Braine-l'Alleud, le 2 mars 1909. Libre-penseur. Il fut nommé instituteur à Braine en 1869, puis instituteur en chef en 1874 et le resta jusqu'à son décès. En 1880, le gouvernement libéral de Frère-Orban pensa à lui et lui proposa le poste d'inspecteur de l'enseignement officiel dans la province de Brabant. Il hésita mais sur l'insistance d'Achille Wayez, alors bourgmestre brainois, il resta en poste dans notre localité. Il fut: collaborateur aux journaux Wallonia et l'Annonce Brabançonne, membre fondateur du cercle libéral "Le Progrès" en 1884 lors d'une réunion qui se tint chez Albert Daye à l'Estrée,[[Chaussée d'Alsemberg]],ainsi que président du cercle pédagogique cantonal. Il a publié plusieurs livres soit à finalité pédagogique, soit à vocation culturelle tels que son récit de la bataille de Waterloo (1894) et un réputé almanach brainois (1891) . Dans le cimetière du centre, un mémorial rappelle également son souvenir, il a été élevé sur sa tombe par ses anciens amis et élèves en octobre 1909.
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'''Schépers Constant-Joseph''' : né à Grez-Doiceau le 26 septembre 1849 et décédé à Braine-l'Alleud, le 2 mars 1909. Fils de Constant Joseph Schépers et de Jeanne Guilmain. Il épouse Marie-Thérèse Rémy, originaire de Grez-Doiceau, comme lui. le 4 septembre 1872. Son père était décédé pendant son service militaire, le 31 août 1868 et il était déjà orphelin maternel depuis ses 7 ans.  Il fut nommé sous-instituteur à Braine-l'Alleud en avril 1869, puis Instituteur en chef en novembre 1874. En 1880, le gouvernement libéral de Frère-Orban pensa à lui et lui proposa le poste d'inspecteur de l'enseignement officiel dans la province de Brabant. Il hésita mais sur l'insistance d'Achille Wayez, bourgmestre de Braine, il resta en poste dans notre localité.C'est Constant Schépers qui devint titulaire de la direction de l'école primaire lors de son transfert de la rue de l'Ancien Bourg actuelle à la rue Schépers alors nommée rue de l'enseignement.En charge de l'organisation générale des classes, il fut aussi et surtout un pédagogue brillant et renommé.Il voulut stimuler ses élèves à s'améliorer et leur proposait volontiers de se présenter au concours organisés entre les écoles dans des épreuves visant à améliorer le niveau des connaissances et la formation du caractère pour permettre au plus grand nombre d'entre eux d'entrer dans la vie sociale munis d'un solide bagage.  Il fut: collaborateur aux journaux Wallonia et l'Annonce Brabançonne (sous le pseudo : "Céjiesse" ses initiales : CJS). En tant qu'instituteur il estimait que l'éducation des enfants du peuple devait être réalisée en fonction de l'instruction laïque, scientifique, comme nombre de bourgeois le revendiquaient au milieu du XIXème siècle. C'est pourquoi il voulut toujours garder une totale indépendance à l'égard du clergé, et à Braine-l'Alleud, cela signifiait une distance très nette par rapport au Curé-Doyen d'alors, Adolphe Hoofs, dont la force de caractère était fortement trempée par une obédience farouche à la seule hiérarchie ecclésiastique. C'est pour cette raison que Schépers se rallia d'emblée au milieu libéral brainois et qu'il fut un des membres fondateurs du cercle libéral "Le Progrès" en juin 1884 lors d'une réunion qui se tint chez Albert Daye à l'Estrée,[[Chaussée d'Alsemberg]].Il revendiqua aussi sa participation au cercle de la Libre-Pensée du Brabant. Il était aussi président du cercle pédagogique cantonal. Il a publié plusieurs livres soit à finalité pédagogique, soit à vocation culturelle tels que son récit de la bataille de Waterloo (1894) et un réputé almanach brainois (1891). Dans le cimetière du centre, un mémorial rappelle également son souvenir, il a été élevé sur sa tombe par ses anciens amis et élèves en octobre 1909.Il fut aussi musicien et soutien effectif de l'Harmonie de Braine-l'Alleud. Après avoir résidé dans les deux écoles primaires qu'il dirigeait, il fit construire dans le nouveau quartier de Saint-Sébastien, dans l'actuelle rue de la Croix où il termina ses jours. Père d'Ivan (né le 27 juin 1873) et de Juliette Schépers (née le 5 février 1877). In memoriam. Ph.B.
'''Scocaert Elisa''' : née à Braine-l'Alleud le 23 septembre 1854 et y décédée le 28 avril 1911. Epouse de Van Cabeke Victor.
'''Scocaert Elisa''' : née à Braine-l'Alleud le 23 septembre 1854 et y décédée le 28 avril 1911. Epouse de Van Cabeke Victor.
'''Spiltoir René''' : né à Amiens (France) le 14 octobre 1932 et décédé à Braine-l'Alleud le 26 janvier 2010. Epoux de Rousseau Christiane. Papa de Spiltoir Etienne.
'''Spiltoir René''' : né à Amiens (France) le 14 octobre 1932 et décédé à Braine-l'Alleud le 26 janvier 2010. Epoux de Rousseau Christiane. Papa de Spiltoir Etienne.
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'''Springal Pierre''' Joseph : né à Braine-l'Alleud le 13 mars 1837 et y décédé le 14 juin 1911. Fils de Jean-Baptiste Springal et de Marie-Thérèse Cumps. Epoux de Marie Parmentier. Maçon puis entrepreneur en constructions. Instruction acquise, il entre en association avec Pierre-Louis Glibert, entrepreneur et financier en son temps favorisé par le Ministre d'Etat Edouard Mercier (voir ce nom). Il devient ainsi le principal maître - maçon à l'époque où se bâtit tout le quartier de la gare. Il est aussi le maître d'oeuvre de plusieurs maisons de la place Sainte-Anne, dont celle de son domicile (n° 16). Il participe à deux reprises aux luttes électorales de notre commune, en 1887 et 1890, en support de la liste catholique. Il termine paisiblement sa vie en rentier.
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'''Spruyt Adhémar''' : né à Braine-l'Alleud le 28 juin 1879 ( rue du Môle 10 )  et y décédé le 23 novembre 1965 ( rue Pierre Flamand 46 ) fils de François Spruyt (plafonneur) et de Hélène Debusse. Epoux d'Irma Naverne le 14 janvier 1914, sans descendance. Négociant en matériaux de constructions.   
'''Spruyt Adhémar''' : né à Braine-l'Alleud le 28 juin 1879 ( rue du Môle 10 )  et y décédé le 23 novembre 1965 ( rue Pierre Flamand 46 ) fils de François Spruyt (plafonneur) et de Hélène Debusse. Epoux d'Irma Naverne le 14 janvier 1914, sans descendance. Négociant en matériaux de constructions.   
'''Wézel Louise-Eugénie-Ghislaine''' : née à Braine-l'Alleud le 26 octobre 1872 et y décédée le 11 juin 1894.
'''Wézel Louise-Eugénie-Ghislaine''' : née à Braine-l'Alleud le 26 octobre 1872 et y décédée le 11 juin 1894.
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'''Willeman Jean-Marc''': né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1962 et décédé inopinément à Saint-Gilles, le 2 décembre 1987. Fils de Willeman Jean. Frère de Willeman Yanec, ?, Agnès, Jean-Pierre et Geneviève. A habité [[Route du Lion]].
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'''Willeman Jean-Marc''': né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1962 et décédé inopinément à Saint-Gilles, le 2 décembre 1987. Fils de Willeman Jean et de Kubiack Thérèse. Frère de Willeman Yanec, Fabienne, Agnès, Jean-Pierre et Geneviève. A habité [[Route du Lion]].
'''Wilputte Armand''' : né à Ophain-Bois-Seigneur-Isaac le 27 août 1913 et décédé à Herent le 9 mars 1969 après une longue et pénible maladie. Fils de Wilputte Hubert et de Chrétien Placide.  Epoux de Massart Marguerite. Père de Wilputte Claire. A habité au n°28 de la rue du Try à Ophain.
'''Wilputte Armand''' : né à Ophain-Bois-Seigneur-Isaac le 27 août 1913 et décédé à Herent le 9 mars 1969 après une longue et pénible maladie. Fils de Wilputte Hubert et de Chrétien Placide.  Epoux de Massart Marguerite. Père de Wilputte Claire. A habité au n°28 de la rue du Try à Ophain.
'''Wynen Sophie''' : décédée au Kenya des suites d'un traumatisme crânien consécutif à une chute, le lundi 22 janvier 2007 à l'âge de 26 ans. Soeur de Wynen Thomas. Ingénieur.
'''Wynen Sophie''' : décédée au Kenya des suites d'un traumatisme crânien consécutif à une chute, le lundi 22 janvier 2007 à l'âge de 26 ans. Soeur de Wynen Thomas. Ingénieur.
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== Familles brainoises ==
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== Portraits divers ==
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[[Barette Willy]]
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[[Bosse Jean]]
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[[Brassinne Raymond]]
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[[Brassinne Norbert]]
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[[Demets Jules]]
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[[Dewez Lucie]]
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[[D'Hoker Victorine]]
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[[Eggermont Jacques]]
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[[Gervy Ernest]]
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[[Hans Jules]]
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[[Hauftenne Etienne]]
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[[Lambert Edmond]]
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[[Landercy Hector]]
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[[Landercy Lucien]]
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[[Laurent Ernest]]
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[[Lanis Cyprien]]
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[[Léozard]]
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[[Leroy Jean]]
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[[Mertens Jules]]
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[[Mambour Emile]]
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[[Ruquoy Louis]]
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[[Schépers Constant-Joseph]]
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[[Vanderplancq Adrien]]
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[[Vanstenagen Claude]]
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[[Vincx Alain]]
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[[Waroquet Léon]]
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[[Fichier:Gervy-Castiaux08.jpg|600px|thumb|left| 26 août 1908 : mariage d'Ernest Gervy et de Marie Castiaux. Sur la photo : Ernest Gervy(1881), Marie Castiaux(1885), Jules Castiaux (1861,papa de Marie), Célina Lor (maman de Marie), Thélesphore Gervy(1851,papa d'Ernest), Sylvie Mairesse (1851,maman d'Ernest), Emile Gervy (1877,frère d'Ernest), Sylvie Gervy (1883, soeur d'Ernest), Omer Castiaux (1887,frère de Marie),... Photo : A.Vanderplancq. Collection : Jean-François Piraux.]]
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[[Wézel François]]

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