Anciens Brainois
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'''Adrians Eugène (Pierre Joseph) :''' né à Braine-l'Alleud (Ménil) le 23 février 1874 et y décédé le 25 avril 1965. Surnommé " Eugène Djean d'Thomas ". Paveur puis agriculteur, il reprend à 25 ans la ferme dite de la Maloue (partie montante vers Waterloo de la rue Légère Eau après le carrefour avec la [[Rue Baty Gigot]]) où il passera toute sa vie. Epoux d'Elisa Lefevre (native de Merbraine) dont il aura 7 enfants. Veuf en 1923. L'orthographe du nom de famille reprise n'est pas erronée ! L'absence du " e " provient d'une variation entre l'acte de naissance de son père en 1831 (pas de "e") et celui de son décès ! | '''Adrians Eugène (Pierre Joseph) :''' né à Braine-l'Alleud (Ménil) le 23 février 1874 et y décédé le 25 avril 1965. Surnommé " Eugène Djean d'Thomas ". Paveur puis agriculteur, il reprend à 25 ans la ferme dite de la Maloue (partie montante vers Waterloo de la rue Légère Eau après le carrefour avec la [[Rue Baty Gigot]]) où il passera toute sa vie. Epoux d'Elisa Lefevre (native de Merbraine) dont il aura 7 enfants. Veuf en 1923. L'orthographe du nom de famille reprise n'est pas erronée ! L'absence du " e " provient d'une variation entre l'acte de naissance de son père en 1831 (pas de "e") et celui de son décès ! | ||
- | '''Allard Alphonse''': né à Lasne en 1857 et décédé à Braine-l'Alleud, le 24 septembre 1923. Instituteur. Conseiller communal de 1895 à 1921. Conseiller provincial. Député socialiste de 1900 à sa mort en 1923. Il a fondé la Maison du Peuple de Braine. L' [[Avenue Alphonse Allard]] porte son nom. | + | '''Allard Alphonse''': né à Lasne en 1857 et décédé à Braine-l'Alleud, le 24 septembre 1923. Instituteur. Conseiller communal de 1895 à 1921. Conseiller provincial. Député socialiste de 1900 à sa mort en 1923. Il a fondé la Maison du Peuple de Braine. L' [[Avenue Alphonse Allard]] porte son nom.Fondateur du socialisme à Braine-l'Alleud et les communes environnantes. Jeune instituteur, c'est en se rendant certains dimanches après-midi à la ferme de la Papelotte, alors exploitée par les frères Mathieu, qu'il rencontra, écouta et fut convaincu par Hector Denis, apôtre de la cause ouvrière. Il se décida alors de faire connaître la voix de l'espoir par une lutte en faveur du suffrage universel, pour l'instruction des démunis, afin de vaincre le fatalisme de la pauvreté et de la déchéance alcoolique, en unissant les humbles autour d'une volonté de militer pour une amélioration globale de la vie matérielle des ouvriers. La section locale du Parti Ouvrier fut créée par lui et ses proches entre 1887 et 1893, qui sont les deux dates à retenir. Il vécut en apôtre, célibataire, désintéressé, ne profita pas de son mandat de député de l'Arrondissement de Nivelles pour s'enrichir, et termina ses jours dans la plus grande simplicité, hébergé avenue Alphonse Allard 22 (actuel) chez Ernest Gerrebos (ancien employé de la gare de Braine) et Juliette Schepers. Il était resté ami avec les libéraux progressistes de Braine, ceux-ci comprenaient la valeur et la sincérité des opinions d'Alphonse Allard. Il faut aussi membre de l'Harmonie de Braine-l'Alleud. In Mémoriam Ph.B. Voir article à son propos dans Brania 2007/2. |
'''Allard Blanche''': née à Ohain le 8 janvier 1892 et décédée le 10 juin 1975. Soeur de Allard Suzanne et André. | '''Allard Blanche''': née à Ohain le 8 janvier 1892 et décédée le 10 juin 1975. Soeur de Allard Suzanne et André. | ||
'''Allard Jules-Alfred''': né à Braine-l'Alleud le 16 janvier 1858 et y décédé le 31 décembre 1932. | '''Allard Jules-Alfred''': né à Braine-l'Alleud le 16 janvier 1858 et y décédé le 31 décembre 1932. | ||
- | Fils de Prosper Allard et de | + | Fils de Prosper Allard et de Anne Catherine Vanhove. Imprimeur et éditeur responsable du journal local "Le Courrier Brainois" organe au départ neutre (à sa fondation en 1877) ensuite porte-parole des libéraux brainois (en pleine période de "guerre scolaire" c'est à dire en 1880 - 1884), journal qui a paru une dizaine d'années. Son imprimerie est tout d'abord située rue du môle, numéros 6 et 8, et ensuite à partir de juillet 1881, rue du chemin de fer (actuelle rue des croix de feu) date à laquelle il dote son installation de la force motrice de la vapeur. Son journal faisait dès l'origine la part belle aux innovations technologiques et se voulait tourné vers l'avenir. Plus tard, il fit une partie de ses affaires dans la production de ciments colorés. Il vécut en célibataire, avec ses deux soeurs Elise et Charlotte. Il a édité, en autres, une édition en fac-similé du Journal des Pays-Bas pour l'année 1815, en 1890. Il est décédé rue du chemin de fer n°27, où il résidait depuis 51 ans. |
- | '''Barbieux Robert (dit "Antoine") :''' né à Macon, le 2 février 1936 et décédé à Anderlecht le jeudi 6 février 1997. Epoux de Ooghe Francine. Père de Barbieux Marie-France, Philippe, Dominique et Jean-Pierre. Sa vie aura été marquée par une succession d'événements difficiles. Ainsi, quand en 1940, son père est fusillé par les Allemands, c'est lui qui devra travailler pour assurer la subsistance de sa famille comme nombre d'enfants de l'époque. Il travaillera en été dans les champs et en hiver dans les bois. Puis à 14 ans dans une verrerie, et c'est en 1955 qu'il commence le travail dans la mine du Bois du Cazier. Le 8 août 1956 surgit le drame : Robert et d'autres mineurs tentent de fuir l'incendie de la mine en prenant une cage censée les sortir du piège. Comme elle ne démarre pas, son meilleur ami descend pour actionner la manette de commande. La cage remonte sans l'ami, sans les centaines d'autres mineurs. Les six hommes qui l'ont empruntée sont sauvés. Et puis c'est l'hécatombe : 262 disparus, 13 survivants. Robert quittera la mine peu après, marqué à jamais par cette tragédie. A habité [[Rue Vallée Bailly]]. Voir l'article du [http://archives.lesoir.be/robert-barbieux-avait-survecu-a-la-tragedie-de-marcinel_t-19970211-Z0D9XG.html Soir du 11 février 1997]. | + | '''Barbieux Robert (dit "Antoine") :''' né à Macon, le 2 février 1936 et décédé à Anderlecht le jeudi 6 février 1997. Epoux de Ooghe Francine. Père de Barbieux Marie-France, Philippe, Dominique et Jean-Pierre. Sa vie aura été marquée par une succession d'événements difficiles. Ainsi, quand en 1940, son père est fusillé par les Allemands, c'est lui qui devra travailler pour assurer la subsistance de sa famille comme nombre d'enfants de l'époque. Il travaillera en été dans les champs et en hiver dans les bois. Puis à 14 ans dans une verrerie, et c'est en 1955 qu'il commence le travail dans la mine du Bois du Cazier. Le 8 août 1956 surgit le drame : Robert et d'autres mineurs tentent de fuir l'incendie de la mine en prenant une cage censée les sortir du piège. Comme elle ne démarre pas, son meilleur ami descend pour actionner la manette de commande. La cage remonte sans l'ami, sans les centaines d'autres mineurs. Les six hommes qui l'ont empruntée sont sauvés. Et puis c'est l'hécatombe : 262 disparus, 13 survivants. Robert quittera la mine peu après, marqué à jamais par cette tragédie. A habité [[Rue Vallée Bailly]]. Voir l'article du [http://archives.lesoir.be/robert-barbieux-avait-survecu-a-la-tragedie-de-marcinel_t-19970211-Z0D9XG.html Soir du 11 février 1997].Voir le reportage de [http://www.tvcom.be/video/culture/expos/braine-l-alleud-un-habitant-rescape-du-bois-du-cazier_18425_89.html TV Com du mardi 25 octobre 2016]. |
'''Baveye Joseph''' : né le 5 mars 1926 et décédé le 29 janvier 2006. Epoux de André Gisèle. A habiré [[Rue du Charron]],127. | '''Baveye Joseph''' : né le 5 mars 1926 et décédé le 29 janvier 2006. Epoux de André Gisèle. A habiré [[Rue du Charron]],127. | ||
'''Bertoux Marguerite''' : née à Wauthier-Braine le 19 octobre 1920 et décédée à Braine-l'Alleud le 30 novembre 2010. Epoux de Rousseau Armand. | '''Bertoux Marguerite''' : née à Wauthier-Braine le 19 octobre 1920 et décédée à Braine-l'Alleud le 30 novembre 2010. Epoux de Rousseau Armand. | ||
- | '''Bilande Léon''' Joseph : né à Mont-Saint-André (prov.de Namur) le 28 mars 1887 et décédé à Jurbise le 15 février 1978. Fils de Louis Bilande et de Félicie Denil. Exploitant agricole [[Chaussée de Nivelles]] (ferme dite "Mathias" démolie en | + | '''Bilande Léon''' Joseph : né à Mont-Saint-André (prov.de Namur) le 28 mars 1887 et décédé à Jurbise le 15 février 1978. Fils de Louis Bilande et de Félicie Denil. Exploitant agricole [[Chaussée de Nivelles]] (ferme dite "Mathias" démolie en 1975 pour l'assiette du Ring), électricien. Président de l'association colombophile " Le Ramier " entre 1918 et 1968 et président de la Fédération belge des associations colombophiles jusqu'à cette date. Il finit ses jours en famille loin de Braine où il a vécu presque toute sa vie. Epoux de Marie Bernier ( " Mathias ")le 11 novembre 1911, il n'aura que son seul fils Louis (1912-1986) comme descendance. |
- | '''Bilande Louis''' Joseph : né à Saint-Germain (prov.de Namur) le 21 juin 1861 et décédé à Braine-l'Alleud le 31 juillet 1937. Après avoir été Maréchal des Logis (régiment du Train) il devient gardien du Lion et s'installe au pied de la butte dans les années 1890. Ensuite tour à tour marchand de bois puis hôtelier ([[Hôtel de la Paix]]) sur le site du Lion. Epouse à Saint-Germain Félicie Denil, il aura 7 enfants. | + | '''Bilande Louis''' Joseph : né à Saint-Germain (prov.de Namur) le 21 juin 1861 et décédé à Braine-l'Alleud le 31 juillet 1937. Après avoir été Maréchal des Logis (régiment du Train) il devient gardien du Lion et s'installe au pied de la butte dans les années 1890.D'après les archives familiales (voir site de Michel Vandekerckhove sur généanet) il réside rue Colo-Hughes n°4 en 1893. Ensuite tour à tour marchand de bois puis hôtelier ([[Hôtel de la Paix]]) sur le site du Lion. Epouse à Saint-Germain Félicie Denil, il aura 7 enfants. |
'''Bodenghien Alfred''' : né à Braine-l'Alleud, le 9 février 1855 et y décédé le 19 mars 1921.Fils aîné de Jean-Baptiste et de Victoire Michiels. Maréchal-ferrant. | '''Bodenghien Alfred''' : né à Braine-l'Alleud, le 9 février 1855 et y décédé le 19 mars 1921.Fils aîné de Jean-Baptiste et de Victoire Michiels. Maréchal-ferrant. | ||
'''Botte Michel''' : né à Bois-Seigneur-Isaac le 13 février 1925 et fusillé par les Allemands à Maransart le 5 septembre 1944. Fils de Botte Georges et de Viseur Léonie. Membre de l'Armée Secrète pendant la guerre 40-45. La [[Rue Michel Botte]] porte son nom en son souvenir. | '''Botte Michel''' : né à Bois-Seigneur-Isaac le 13 février 1925 et fusillé par les Allemands à Maransart le 5 septembre 1944. Fils de Botte Georges et de Viseur Léonie. Membre de l'Armée Secrète pendant la guerre 40-45. La [[Rue Michel Botte]] porte son nom en son souvenir. | ||
- | '''Boucqueau Achille''' Charles Florent Ghislain : né à Braine-l'Alleud le 3 novembre 1866 et décédé à Nivelles le 29 avril 1931. Fils de Charles-Albert Boucqueau et de Flore Philippe. Propriétaire et rentier, né au château du Ménil, il épouse Berthe Delhaize (la | + | '''Boucqueau Achille''' Charles Florent Ghislain : né à Braine-l'Alleud le 3 novembre 1866 et décédé à Nivelles le 29 avril 1931. Fils de Charles-Albert Boucqueau et de Flore Philippe. Propriétaire et rentier, né au château du Ménil, il épouse Berthe Delhaize (la nièce des fondateurs des grands magasins Delhaize Le Lion) le 26 avril 1898 à Saint-Josse-ten-Noode (commune natale de Berthe). Ils ont deux fils et une fille: Charles né le 19 mars 1899, Adolphe né (à Saint-Josse) le 19 mars 1900 (parrain : Adolphe Delhaize) et Ghislaine Simone Joséphine née le 14 janvier 1902. Achille Boucqueau avait diversifié ses avoirs immobiliers et investi aussi dans une industrie textile de Flandre Orientale. Il s'estimait trop imposé et avait introduit une réclamation auprès de l'administration communale de Braine-l'Alleud dans le courant de l'année 1904. N'ayant pas obtenu satisfaction, il quitta la commune et s'installa à Nivelles dans le courant de l'année 1906.Il y resta jusqu'à son décès, louant à différentes personnes sa propriété brainoise, notamment la partie des sources et les étangs au docteur Delpierre (eau minérale " La légère Eau") et la demeure à différents fermiers. |
'''Bourguignon Lambertine''' : née à Binche et décédée à Braine-l'Alleud, le 25 novembre 1883 à l'âge de 86 ans et 8 mois. Epouse de Grosse Emmanuel-André. | '''Bourguignon Lambertine''' : née à Binche et décédée à Braine-l'Alleud, le 25 novembre 1883 à l'âge de 86 ans et 8 mois. Epouse de Grosse Emmanuel-André. | ||
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+ | '''Bourgys Jean-François''' : né à Braine-l'Alleud le 12 mars 1817 et y décédé le 8 juin 1878. Fils de Jean-Joseph Bourgys et de Marie Cécile Delaby. Epoux de Marie Appolonie Herman. Tisserand et cultivateur à Paudure. | ||
+ | L'orthographe du nom Bourgys a varié : Bourghys, Bourgheys, Bourgys. Ceci est dû, entre autre, au fait que les wallons de Braine-l'Alleud nommaient invariablement ces patronymes de " Bourgage " et rarement Bourgys. Il faut donc, en matière de généalogie, à chaque cas, vérifier la filiation pour être affirmatif à propos de telle ou telle personne d'un patronyme dont l'écriture fluctue. | ||
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'''Brassine Raymond''' : né à Braine-l'Alleud en 1909 et y décédé le 7 juillet 1967. Epoux de Hautfenne Georgette. Père de Brassinne Michel et Suzy. Entrepreneur de travaux publics dès la fin de la seconde guerre mondiale, il est la cheville ouvrière du rapprochement et du jumelage avec la municipalité d'Ouistreham-Riva Bella (Calvados-France). En 1959, il devient conseiller communal et en 1965, bourgmestre. Il décéda d'un cancer foudroyant. Il a eu le temps d'initier l'ébauche de ce que Braine-l'Alleud est devenu ensuite : une cité d'accueil pour les candidats résidants de plus en plus attirés par la campagne proche de la capitale et un nouveau réseau d'entreprises se développant suite à la crise et à la fermeture des usines textiles qui avaient fait la fortune de la bourgeoisie locale. ( Source: Philippe Buchelot dans [["Aux urnes, citoyens : les élections communales et la vie politique locale à Braine-l'Alleud de 1830 à 2006" (Revue Brania - 2006/2007)]] ). Une avenue lui a été dédiée, l'[[Avenue Raymond Brassine]] | '''Brassine Raymond''' : né à Braine-l'Alleud en 1909 et y décédé le 7 juillet 1967. Epoux de Hautfenne Georgette. Père de Brassinne Michel et Suzy. Entrepreneur de travaux publics dès la fin de la seconde guerre mondiale, il est la cheville ouvrière du rapprochement et du jumelage avec la municipalité d'Ouistreham-Riva Bella (Calvados-France). En 1959, il devient conseiller communal et en 1965, bourgmestre. Il décéda d'un cancer foudroyant. Il a eu le temps d'initier l'ébauche de ce que Braine-l'Alleud est devenu ensuite : une cité d'accueil pour les candidats résidants de plus en plus attirés par la campagne proche de la capitale et un nouveau réseau d'entreprises se développant suite à la crise et à la fermeture des usines textiles qui avaient fait la fortune de la bourgeoisie locale. ( Source: Philippe Buchelot dans [["Aux urnes, citoyens : les élections communales et la vie politique locale à Braine-l'Alleud de 1830 à 2006" (Revue Brania - 2006/2007)]] ). Une avenue lui a été dédiée, l'[[Avenue Raymond Brassine]] | ||
'''Chanoine Alain''': né à Fizi (Congo belge) le 18 janvier 1960 et décédé accidentellement à Plancenoit le 23 août 1981. Fils de Chanoine Jean-Marie et de Hachez ?. Frère de Chanoine Guy, Yves, Francis, Didier et Nathalie. A habité [[Avenue de la Paix]], 32. | '''Chanoine Alain''': né à Fizi (Congo belge) le 18 janvier 1960 et décédé accidentellement à Plancenoit le 23 août 1981. Fils de Chanoine Jean-Marie et de Hachez ?. Frère de Chanoine Guy, Yves, Francis, Didier et Nathalie. A habité [[Avenue de la Paix]], 32. | ||
- | '''Charlier Antoine''': né à Vieux-Genappe le 30 novembre 1796, épouse Emerance Gerrebos | + | '''Charlier Antoine''': né à Vieux-Genappe le 30 novembre 1796 et décédé à Braine-l'Alleud le 3 mars 1886. Fils de Pierre Philippe Charlier et de Hyacinthe Glibert, ses parents résident quelques années plus tard à Villers-la-Ville où Antoine grandit. Il épouse le 13 septembre 1820 à 4 heures du matin (en effet : pourquoi attendre ?!) Emerance Gerrebos alors jeune veuve de Philippe Croquet et mère du futur abbé Croquet ainsi que de Barbe Croquet (future mère du Cardinal Mercier) Ensemble, le nouveau couple cultivent à la ferme de Tout-lui-Faut (Ermite) de 1820 à 1863. Ils sont cultivateurs propriétaires, très actifs.Rapidement intégré, instruit, Antoine Charlier devient aussi conseiller communal de 1823 à 1836 et de 1841 à 1881. il fut aussi échevin catholique de Braine-l'Alleud de 1869 à 1881. Parmi ses fonctions, il se charge notamment de l'Etat-civil, signant ainsi de très nombreux actes et officie à de nombreux mariages. De 1863 à son décès, il résida rue des Jambes n° 24 (actuelle petite rue des Marolles). Père de famille nombreuse, il eut notamment pour descendance, le curé de Virginal Anthîme Charlier, le docteur en médecine Louis Charlier, Antoinette et Emerance Soeurs de Marie (voir ci-dessous). |
'''Charlier Antoinette''' Elisabeth Emerance (Soeur Marie-Angèle): née à Braine-l'Alleud le 29 décembre 1822 et décédée au couvent des Soeurs de Marie à Braine-l'Alleud le 25 juin 1900 dans la 77ème année de son âge et la 47ème de sa vie religieuse. Fille d'Antoine Charlier et d'Emerance Gerrebos. | '''Charlier Antoinette''' Elisabeth Emerance (Soeur Marie-Angèle): née à Braine-l'Alleud le 29 décembre 1822 et décédée au couvent des Soeurs de Marie à Braine-l'Alleud le 25 juin 1900 dans la 77ème année de son âge et la 47ème de sa vie religieuse. Fille d'Antoine Charlier et d'Emerance Gerrebos. | ||
'''Delheid Marcel''' : né à Braine-l'Alleud le 4 octobre 1935 et décédé à Nivelles le 3 septembre 2010. | '''Delheid Marcel''' : né à Braine-l'Alleud le 4 octobre 1935 et décédé à Nivelles le 3 septembre 2010. | ||
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+ | '''Delpierre Octave''' Ghislain : né à Plancenoit le 14 juin 1868 et décédé à Wattrelos, département du Nord, France le 27 septembre 1919. Le Docteur en médecine Delpierre vient s'installer à Braine, rue de l'hôpital, en 1892. Il y fait la rencontre de Mélanie Coulon, fille du vannier dont l'atelier provoqua l'incendie du bâtiment voisin de l'ancien hôpital de Braine en août 1885. Il crée en 1900 son institut médico-chirurgical bâti au début de la chaussée d'Alsemberg,actuel numéro 8 et 10 de la Place Cardinal Mercier , alors nommé le Castegier, et en 1911, obtient la propriété des sources existantes dans le sous-sol du bien appartenant alors à Achille Boucqueau-Delhaize, au château du Ménil dites sources de La Légère Eau. Il constitue une Société en Commandite simple, pour la durée de 10 ans (1er janvier 1912-31 décembre 1921) afin de produire et commercialiser cette eau réputée à haute valeur curative. Son décès inopiné entraînera la fin prématurée de cette exploitation dont les difficultés liées à la Première Guerre Mondiale avaient provoqué des difficultés financières incontournables. De son mariage, il eut 3 enfants. | ||
+ | Il fut aussi le premier automobiliste brainois ! | ||
+ | Voir dans Glanures au fil du Temps n°37 - 1996 - d'autres détails à l'article de Jean Bosse sur La Légère Eau. Et aussi sur Wiki, la reproduction de l'article d'Armand Courtain sur la première auto de Braine (paru dans l'Alleud). | ||
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'''Delval Oscar (Joseph Ghislain) :''' né à Braine-l'Alleud, Estrée, le 16 avril 1867 et y décédé le 3 février 1936. Fils de Léandre (Michel Joseph) Delval et de Sylvie Parmentier (native d'Ophain). Etudes primaires à Braine-l'Alleud, degré moyen à Nivelles, études d'instituteur à l'école normale de Nivelles qu'il réussit en 1888. Il postule dans sa commune mais il n'y a pas de place vacante. Il répond alors à une offre pour l'Institut des Sourds et Muets de Berchem-Sainte-Agathe où il débute sa carrière. Il revient en novembre 1894 à Braine, pour devenir 2ème sous-instituteur à l'école (n°2)primaire des garçons à Mont-Saint-Pont. Il enseigne aussi le "flamand" (et non semble t'il le néerlandais ?)langue pratiquée au cours de son séjour à Berchem. Il devient ensuite, 1er sous-instituteur à cette même école, après le décès d'Eugène Lamboray (professeur au centre) et le déplacement de Léon Paesmans à l'école numéro 1, décision entérinée par le conseil communal le 23 novembre 1907. Enfin, il accède à la place (honorable à cette époque) d'Instituteur en chef de l'école de Mont-Saint-Pont le 23 avril 1909. Cette nomination fut serrée politiquement, une voix d'écart, et fut le signe pour les libéraux que leur ancien "poulain" avait changé de camp, étant élu par les 6 conseillers catholiques. Il fut alors surnommé " el toun' casaque" par le chroniqueur brainois de l'Union Libérale de Nivelles. Il restera en fonction jusqu'à son décès, se domiciliant dans l'école même dès août 1910.Epoux d'Erma (Ghislaine) Colle née à Waterloo le 16 novembre 1868. Pas d'enfants. | '''Delval Oscar (Joseph Ghislain) :''' né à Braine-l'Alleud, Estrée, le 16 avril 1867 et y décédé le 3 février 1936. Fils de Léandre (Michel Joseph) Delval et de Sylvie Parmentier (native d'Ophain). Etudes primaires à Braine-l'Alleud, degré moyen à Nivelles, études d'instituteur à l'école normale de Nivelles qu'il réussit en 1888. Il postule dans sa commune mais il n'y a pas de place vacante. Il répond alors à une offre pour l'Institut des Sourds et Muets de Berchem-Sainte-Agathe où il débute sa carrière. Il revient en novembre 1894 à Braine, pour devenir 2ème sous-instituteur à l'école (n°2)primaire des garçons à Mont-Saint-Pont. Il enseigne aussi le "flamand" (et non semble t'il le néerlandais ?)langue pratiquée au cours de son séjour à Berchem. Il devient ensuite, 1er sous-instituteur à cette même école, après le décès d'Eugène Lamboray (professeur au centre) et le déplacement de Léon Paesmans à l'école numéro 1, décision entérinée par le conseil communal le 23 novembre 1907. Enfin, il accède à la place (honorable à cette époque) d'Instituteur en chef de l'école de Mont-Saint-Pont le 23 avril 1909. Cette nomination fut serrée politiquement, une voix d'écart, et fut le signe pour les libéraux que leur ancien "poulain" avait changé de camp, étant élu par les 6 conseillers catholiques. Il fut alors surnommé " el toun' casaque" par le chroniqueur brainois de l'Union Libérale de Nivelles. Il restera en fonction jusqu'à son décès, se domiciliant dans l'école même dès août 1910.Epoux d'Erma (Ghislaine) Colle née à Waterloo le 16 novembre 1868. Pas d'enfants. | ||
'''Diesbeck Fernand''': né à Braine-l'Alleud le 25 février 1901 et y décédé le 4 juin 1921. | '''Diesbeck Fernand''': né à Braine-l'Alleud le 25 février 1901 et y décédé le 4 juin 1921. | ||
+ | '''Draguet Adolphe''' : né à Braine-l'Alleud le 1er mai 1812 et y décédé le 21 juillet 1885. Fils de Jean-Joachim Draguet et de Catherine Berrière. Fabricant de bas, ensuite commerçant et cabaretier. Epoux de Eugénie Augustine De Rue, petite-fille du fermier du Ménil, Adrien De Rue, ils s'établissent face à la chapelle Notre-Dame-des-Fièvres, au Ménil, entre 1837 et 1845 où ils ont leurs 7 enfants. Ensuite, ils achètent et résident rue du château n° 14. Fondateur, avec son fils Auguste, de la maison de commerce Draguet, qui s'orienta surtout vers la quincaillerie. | ||
'''Draguet Jean Joachim''' : né à Braine-l'Alleud le 21 décembre 1838 et décédé à Cortil-Noirmont le 29 août 1886. Fils d' Adolphe Joseph Draguet fabricant de bas et d' Eugénie Augustine De Rue, Jean Joachim est né au Ménil (face à la Chapelle Notre-Dame des Fièvres) comme sa soeur cadette Sidonie, ses parents étaient locataires de Prosper Gouttier. Il fait son séminaire à Malines et est ordonné prêtre dans cette ville le 23 décembre 1865. Le 9 janvier 1866 il devient vicaire à Braine-l'Alleud où il retrouve Adolphe Hoofs le curé qui lui a inculqué les premiers rudiments de l'éducation catholique. Il reste son plus proche adjoint, notamment lors de la lutte scolaire en 1879. Il est cependant nommé Curé à Cortil-Noirmont le 19 mars 1880. L'enquête sur l'application de la loi Van Humbeek (voir la notice sur le Curé-Doyen Hoofs) dénonce son caractère rigoureux et ultramontain comme exemple d'un catholicisme sévère et radical. | '''Draguet Jean Joachim''' : né à Braine-l'Alleud le 21 décembre 1838 et décédé à Cortil-Noirmont le 29 août 1886. Fils d' Adolphe Joseph Draguet fabricant de bas et d' Eugénie Augustine De Rue, Jean Joachim est né au Ménil (face à la Chapelle Notre-Dame des Fièvres) comme sa soeur cadette Sidonie, ses parents étaient locataires de Prosper Gouttier. Il fait son séminaire à Malines et est ordonné prêtre dans cette ville le 23 décembre 1865. Le 9 janvier 1866 il devient vicaire à Braine-l'Alleud où il retrouve Adolphe Hoofs le curé qui lui a inculqué les premiers rudiments de l'éducation catholique. Il reste son plus proche adjoint, notamment lors de la lutte scolaire en 1879. Il est cependant nommé Curé à Cortil-Noirmont le 19 mars 1880. L'enquête sur l'application de la loi Van Humbeek (voir la notice sur le Curé-Doyen Hoofs) dénonce son caractère rigoureux et ultramontain comme exemple d'un catholicisme sévère et radical. | ||
'''Félix Anne Ghislaine''' née à Braine-l'Alleud le 22 mars 1840 et y décédée le 6 novembre 1917. Fut préfète de la Congrégation de la Sainte Vierge et du Tiers Ordre de Saint-François. | '''Félix Anne Ghislaine''' née à Braine-l'Alleud le 22 mars 1840 et y décédée le 6 novembre 1917. Fut préfète de la Congrégation de la Sainte Vierge et du Tiers Ordre de Saint-François. | ||
- | '''Félix Félix''' Guillaume Joseph : né à Ohain le 25 juillet 1816 et décédé à Braine-l'Alleud le 15 octobre 1899. Fils de Pierre Ignace Félix et de Anne-Marie Hanouille tous deux de Ohain, il épouse Marie Catherine Delporte de Braine-l'Alleud et vient s'établir dans notre commune un peu avant 1840. Marchand de denrées comestibles, il tient un magasin durant près d'un demi-siècle, sur le coin de la rue du Mol et des Jambes. Il y vend surtout des liqueurs et autres boissons alcoolisées. Il est conseiller communal à partir du 25 juin 1853, et le reste jusqu'à sa démission du 27 février 1861. Il est aussi échevin entre le 17 janvier 1857 et sa démission du 27 février 1861. Il est de tendance nettement libérale, hédoniste, ce qui lui vaut d'avoir les honneurs de la plume du Curé Adolphe Hoofs, en 1858, qui lui prête un orgueil et une vanité démesurée ! Mais Félix reste le "bienheureux", une fois son tablier communal cédé à un autre collègue, alors receveur de la Bienfaisance,et aussi amateur de liqueurs, François Lauchay. Fut aussi membre de l'Harmonie de Braine, et membre honoraire (il a fait partie du voyage mémorable à Merville en 1894). Sa fille Anne Ghislaine était par contraste avec son père, d'une grande conviction chrétienne (voir ci-dessus). | + | '''Félix Félix''' Guillaume Joseph : né à Ohain le 25 juillet 1816 et décédé à Braine-l'Alleud le 15 octobre 1899. Fils de Pierre Ignace Félix et de Anne-Marie Hanouille tous deux de Ohain, il épouse Marie Catherine Delporte de Braine-l'Alleud et vient s'établir dans notre commune un peu avant 1840. Marchand de denrées comestibles, il tient un magasin durant près d'un demi-siècle, sur le coin de la rue du Mol et des Jambes. Il y vend surtout des liqueurs et autres boissons alcoolisées. Il est conseiller communal à partir du 25 juin 1853, et le reste jusqu'à sa démission du 27 février 1861. Il est aussi échevin entre le 17 janvier 1857 et sa démission du 27 février 1861. Il est de tendance nettement libérale, hédoniste, ce qui lui vaut d'avoir les honneurs de la plume du Curé Adolphe Hoofs, en 1858, qui lui prête un orgueil et une vanité démesurée ! Mais Félix reste le "bienheureux", une fois son tablier communal cédé à un autre collègue, alors receveur de la Bienfaisance,et aussi amateur de liqueurs, François Lauchay. Toutefois, pour montrer son opposition à la "jeune génération" libérale au pouvoir depuis 1867, il se présente sur la liste catholique en 1878. Les temps avaient changé. Fut aussi membre de l'Harmonie de Braine, et membre honoraire (il a fait partie du voyage mémorable à Merville en 1894). Sa fille Anne Ghislaine était par contraste avec son père, d'une grande conviction chrétienne (voir ci-dessus). |
Il est cité dans les " Billets de Grand Père " d'Emile Désirant. | Il est cité dans les " Billets de Grand Père " d'Emile Désirant. | ||
- | '''Flamand Jean Pierre''' dit Pierre : né à Braine-l'Alleud le 8 décembre 1837 et y décédé le 5 juin 1911. Fils de Pierre Joseph Flamand et de Marie Joseph Daille. Père et fils sont menuisiers.Il épouse le 9 février 1870 Hélène Depester, fille de Jean Depester et de Marie Joseph Deprez. Pierre Flamand fut le premier échevin socialiste de Braine-l'Alleud. Militant dès les premières années (1887 - 1893) qui visent à émanciper le mouvement ouvrier de l'aile progressiste du Cercle Libéral le Progrès, Pierre Flamand est un des proches d'Alphonse Allard, instituteur communal pionnier des luttes ouvrières en Brabant Wallon. Il se présente aux élections communales de 1899 sur la liste de cartel libéral - socialiste, il est élu et devient ainsi conseiller communal. Pendant la période de la majorité catholique de 1904 à 1911, il est appelé, le 15 octobre 1910 par le Collège échevinal à remplacer l'échevin décédé Edouard Vandercam et devient ainsi le premier échevin ouvrier chargé des travaux publics et de l'enseignement. Malheureusement, il ne pourra consacrer que quelques mois à l'intense activité qui l'absorbe. Il décède inopinément et sera regretté unanimement par toutes les sensibilités. Ses obsèques ont réuni la grande foule. Son fils Pierre Joseph Flamand né le 23 janvier 1871 lui succédera au sein du conseil communal, reprenant le flambeau paternel, mais restera mandataire communal jusqu'en 1952, alors âgé de 81 ans ! Une longévité seulement dépassée par celle d'Antoine Charlier (voir notice ci-dessus). Sources : Brania 2006/2 et 2007/1 Aux Urnes, citoyens ! Texte de Ph.Buchelot.Etat-civil de la commune de Braine-l'Alleud. | + | '''Flamand Jean Pierre''' dit Pierre : né à Braine-l'Alleud le 8 décembre 1837 et y décédé le 5 juin 1911. Fils de Pierre Joseph Flamand et de Marie Joseph Daille. Père et fils sont menuisiers et sont établis de longue date à l'Estrée.Il épouse le 9 février 1870 Hélène Depester, fille de Jean Depester et de Marie Joseph Deprez. Pierre Flamand fut le premier échevin socialiste de Braine-l'Alleud. Militant dès les premières années (1887 - 1893) qui visent à émanciper le mouvement ouvrier de l'aile progressiste du Cercle Libéral le Progrès, Pierre Flamand est un des proches d'Alphonse Allard, instituteur communal pionnier des luttes ouvrières en Brabant Wallon. Il se présente aux élections communales de 1899 sur la liste de cartel libéral - socialiste, il est élu et devient ainsi conseiller communal. Pendant la période de la majorité catholique de 1904 à 1911, il est appelé, le 15 octobre 1910 par le Collège échevinal à remplacer l'échevin décédé Edouard Vandercam et devient ainsi le premier échevin ouvrier chargé des travaux publics et de l'enseignement. Malheureusement, il ne pourra consacrer que quelques mois à l'intense activité qui l'absorbe. Il décède inopinément et sera regretté unanimement par toutes les sensibilités. Ses obsèques ont réuni la grande foule. Son fils Pierre Joseph Flamand né le 23 janvier 1871 lui succédera au sein du conseil communal, reprenant le flambeau paternel, mais restera mandataire communal jusqu'en 1952, alors âgé de 81 ans ! Une longévité seulement dépassée par celle d'Antoine Charlier (voir notice ci-dessus). Sources : Brania 2006/2 et 2007/1 Aux Urnes, citoyens ! Texte de Ph.Buchelot.Etat-civil de la commune de Braine-l'Alleud. |
'''Gailly Georgette''' : née à Ophain le 8 juillet 1920 et décédée à Braine-l'Alleud, le 22 décembre 2012. Epouse de Deridder Vital. Maman de Deridder André et Liliane. | '''Gailly Georgette''' : née à Ophain le 8 juillet 1920 et décédée à Braine-l'Alleud, le 22 décembre 2012. Epouse de Deridder Vital. Maman de Deridder André et Liliane. | ||
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+ | '''Geerts Emile''' : né à Braine-l'Alleud le 22 juillet 1920 et y décédé le 28 octobre 2003. Fils de Gustave Geerts et de Zélie Huriaux. Employé communal de la fin de la seconde guerre mondiale jusqu'à sa retraite en 1985. Musicien à l'Harmonie de Mont-Saint-Pont de 1928 à 1935 (clarinettiste). Epoux d' Esther Adrians (fille d'Alfred Adrians et d'Alida Goesens), ils ont eu deux enfants. Habitait Sart-Moulin, rue Hyppolite n°7. | ||
'''Gérard Gustave''': né à Bruxelles le 31 octobre 1863 et décédé à Braine-l'Alleud le 8 août 1937. Epoux de Valentine Tasson avec qui il eut deux filles, Ghislaine et Suzanne. Second fils d'Hilaire père et de Julie Spelkens. Industriel, propriétaire foncier, il fit bâtir le " château de Mont-Saint-Pont" en 1898.Il est directeur du tissage de Mont-Saint-Pont, où il met au point et fait breveter un nouvel outillage mécanique avec son contre-maître Schneider. Il vécut dans son château avec sa famille et ses deux frères cadets, Jules et Léon. Avec la crise financière et économique du début des années 1930, il décide de vendre son usine après 1934. Officier d'Académie des Arts et Métiers, il participait aux concours de fins d'études des métiers industriels. | '''Gérard Gustave''': né à Bruxelles le 31 octobre 1863 et décédé à Braine-l'Alleud le 8 août 1937. Epoux de Valentine Tasson avec qui il eut deux filles, Ghislaine et Suzanne. Second fils d'Hilaire père et de Julie Spelkens. Industriel, propriétaire foncier, il fit bâtir le " château de Mont-Saint-Pont" en 1898.Il est directeur du tissage de Mont-Saint-Pont, où il met au point et fait breveter un nouvel outillage mécanique avec son contre-maître Schneider. Il vécut dans son château avec sa famille et ses deux frères cadets, Jules et Léon. Avec la crise financière et économique du début des années 1930, il décide de vendre son usine après 1934. Officier d'Académie des Arts et Métiers, il participait aux concours de fins d'études des métiers industriels. | ||
- | '''Ipersiel Jean-Baptiste''' : né à Braine-l'Alleud le 19 janvier 1787 et y décédé le 11 août 1870. Fils de Ipersiel François et de Nicaise Anne. Marié le 30 septembre 1814 avec Ghislain Isabelle, décédée le 23 octobre 1836, et remarié avec Stache Marie-Thérèse, le 23 mars 1837. Ancien militaire, garde-champêtre. | + | '''Ipersiel Jean-Baptiste''' : né à Braine-l'Alleud le 19 janvier 1787 et y décédé le 11 août 1870. Fils de Ipersiel François et de Nicaise Anne. Il est né rue Coleau sur Waterloo, mais à cette époque, le hameau de la Blocquerie (rue Coleau et rue Victor Hugo actuelles)faisaient partie de Braine-l'Alleud. Il est conscrit en 1807 et fait plusieurs campagnes napoléoniennes. Marié le 30 septembre 1814 avec Ghislain Isabelle, décédée le 23 octobre 1836, et remarié avec Stache Marie-Thérèse, le 23 mars 1837. Ancien militaire sous l'Empire,il devient le garde des propriétés (campagnes) de la famille Mercier avant 1830. Il est ensuite garde-champêtre communal. |
'''Ipersiel Françoise''' : née à Braine-l'Alleud (ferme du Ménil) le 8 octobre 1630 et y décédée le 6 août 1725. Fille de Allonze (Alphonse) Iperziel et d'Isabeau Wautier. Sa mère a connu personnellement l'Archiduchesse Isabelle, alors notre souveraine, laquelle faisait envoyer chercher l'eau de la Légère Eau, pour ses problèmes gastriques. Ce fait a été transmis par Françoise à toute sa famille et aux brainois. Françoise s'est mariée avec Jean Theys le 30 mai 1652. Ils eurent 10 enfants parmi lesquels 3 fils ont été à leur tour soit fermiers à la ferme seigneuriale du Ménil (Nicolas l'aîné né en 1652, Antoine né en 1667) soit à celle de la Basse-Cour (Bernard né en 1662) dans la rue de la Chiennerie (ferme Gilot actuelle). Elle cultive avec ses fils jusqu'en 1711, date où elle répartit certains de ses biens entre ses héritiers. Elle fut veuve dès le 27 mai 1678. (Voir aussi au nom de famille : Theys). | '''Ipersiel Françoise''' : née à Braine-l'Alleud (ferme du Ménil) le 8 octobre 1630 et y décédée le 6 août 1725. Fille de Allonze (Alphonse) Iperziel et d'Isabeau Wautier. Sa mère a connu personnellement l'Archiduchesse Isabelle, alors notre souveraine, laquelle faisait envoyer chercher l'eau de la Légère Eau, pour ses problèmes gastriques. Ce fait a été transmis par Françoise à toute sa famille et aux brainois. Françoise s'est mariée avec Jean Theys le 30 mai 1652. Ils eurent 10 enfants parmi lesquels 3 fils ont été à leur tour soit fermiers à la ferme seigneuriale du Ménil (Nicolas l'aîné né en 1652, Antoine né en 1667) soit à celle de la Basse-Cour (Bernard né en 1662) dans la rue de la Chiennerie (ferme Gilot actuelle). Elle cultive avec ses fils jusqu'en 1711, date où elle répartit certains de ses biens entre ses héritiers. Elle fut veuve dès le 27 mai 1678. (Voir aussi au nom de famille : Theys). | ||
'''Jacobs Jean-Baptiste''': né à Braine-l'Alleud le 16 octobre 1820 et y décédé (Goëtte) le 30 janvier 1899. Elevé par sa mère Suzanne Jacobs, il devient blanchisseur de toiles de coton chez Henri Elmer qui travaille sur le site actuel des entreprises Carimar. | '''Jacobs Jean-Baptiste''': né à Braine-l'Alleud le 16 octobre 1820 et y décédé (Goëtte) le 30 janvier 1899. Elevé par sa mère Suzanne Jacobs, il devient blanchisseur de toiles de coton chez Henri Elmer qui travaille sur le site actuel des entreprises Carimar. | ||
Il devient ensuite patron teinturier et n'a de cesse d'améliorer ses connaissances en matière de commerce et d'industrie. Avec son fils Edmond Jacobs, il fonde ainsi la maison du Blanc sur coton Jacobs père et fils vers 1875- 80. Il aura deux épouses : Amélie de Hennault et Anne-Marie Poulet et de nombreux enfants, dont Edmond industriel et Léon conseiller communal et échevin, bourgmestre de Braine-l'Alleud de 1912 à 1921. Il fut militant libéral, mais aussi fervent croyant, conseiller communal libéral de 1882 à 1895. Président de l'Association des anciens militaires sous Léopold 1er de 1896 à son décès. | Il devient ensuite patron teinturier et n'a de cesse d'améliorer ses connaissances en matière de commerce et d'industrie. Avec son fils Edmond Jacobs, il fonde ainsi la maison du Blanc sur coton Jacobs père et fils vers 1875- 80. Il aura deux épouses : Amélie de Hennault et Anne-Marie Poulet et de nombreux enfants, dont Edmond industriel et Léon conseiller communal et échevin, bourgmestre de Braine-l'Alleud de 1912 à 1921. Il fut militant libéral, mais aussi fervent croyant, conseiller communal libéral de 1882 à 1895. Président de l'Association des anciens militaires sous Léopold 1er de 1896 à son décès. | ||
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+ | '''Joinneau Pierre''' : né à Sint-Pieters-Capelle,Flandre Occidentale (actuellement fusionnée avec Middelkerke) le 23 février 1848 et décédé à Braine-l'Alleud le 19 novembre 1933. Fils de Jean-Baptiste Joinneau et de Dorothée De Weyer. Pierre surnommé Pierre del Barrière, a été le premier garde-barrière de Braine-l'Alleud, entré en fonction à la gare le 10 mars 1874, date de son inscription au domicile dans la Station, alors construite. Il résida un peu plus tard, dans la maison située le long des voies côté nord, vers Mont-Saint-Jean (située à l'époque au n° 9 Sainte-Marie-Madeleine, comprenez la Patte de Poule). Il fera fonction de garde-barrière pendant un peu plus de 10 ans. Il change de fonction et devient maître des aiguillages, assurant la bonne conduite de l'important trafic de marchandises qui s'intercale avec les deux lignes de passagers (124 et 115)à partir de 1885. Il fait construire en 1895-96 une des maisons qui borde la place de la Station (et bouche le passage à l'actuel Pont Courbe) y établissant le reconnu café de la Barrière. Coin préféré des cheminots. Il laisse alors la maison du garde à son successeur Charles-Louis Dehenneau. Il a épousé Marie Alphonsine Paduwat et ils ont eu 6 enfants, tous nés et établis à Braine-l'Alleud et dans les environs. Son père, ouvrier agricole west-flandrien est venu aussi résider avec son fils et est mort à Braine-l'Alleud le 31 décembre 1878. | ||
'''Joniaux Ignace''' : né à Braine-l'Alleud le 29 mars 1812 et y décédé le 13 mars 1900 (à 22 heures). Fils de Théodore Joniaux et de Jeanne Ipersiel. Menuisier et cordonnier, il est le connu comme le dernier combattant volontaire brainois des journées de la Révolution Belge de 1830. Le dernier, puisqu'il était le plus jeune, mais aussi, le dernier survivant brainois de cette épopée sociale et politique. Entré rapidement à l'Harmonie de Braine, il lui revient l'honneur de chanter la Brabançonne lors de toutes les manifestations officielles. Il est nommé comme Président de la Société de Militaires décorés, enrôlés sous le règne de Léopold Ier. Il est un des trois volontaires mis à l'honneur lors de la remise officielle du drapeau de cette société par le Ministre de la Guerre Brassinne, le 23 août 1896. Il a résidé presque toute sa vie à Braine-l'Alleud, et à Genappe pendant quelques années au début de son mariage (aux alentours de 1840). Il était propriétaire du numéro 10 de la rue du Château. | '''Joniaux Ignace''' : né à Braine-l'Alleud le 29 mars 1812 et y décédé le 13 mars 1900 (à 22 heures). Fils de Théodore Joniaux et de Jeanne Ipersiel. Menuisier et cordonnier, il est le connu comme le dernier combattant volontaire brainois des journées de la Révolution Belge de 1830. Le dernier, puisqu'il était le plus jeune, mais aussi, le dernier survivant brainois de cette épopée sociale et politique. Entré rapidement à l'Harmonie de Braine, il lui revient l'honneur de chanter la Brabançonne lors de toutes les manifestations officielles. Il est nommé comme Président de la Société de Militaires décorés, enrôlés sous le règne de Léopold Ier. Il est un des trois volontaires mis à l'honneur lors de la remise officielle du drapeau de cette société par le Ministre de la Guerre Brassinne, le 23 août 1896. Il a résidé presque toute sa vie à Braine-l'Alleud, et à Genappe pendant quelques années au début de son mariage (aux alentours de 1840). Il était propriétaire du numéro 10 de la rue du Château. | ||
'''Laus Roger''' : né à Tubize le 28 octobre 1911 et décédé à Nivelles le 1er octobre 1971. Fils de Laus Georges et de Degols Maria. Epoux de Vanderplanck Marie. Père de Laus Jean-Marie. Membre du conseil communal d'Ophain durant plus de 18 ans et décédé alors qu'il exerçait les fonctions de premier échevin. Une rue porte son nom à Ophain. | '''Laus Roger''' : né à Tubize le 28 octobre 1911 et décédé à Nivelles le 1er octobre 1971. Fils de Laus Georges et de Degols Maria. Epoux de Vanderplanck Marie. Père de Laus Jean-Marie. Membre du conseil communal d'Ophain durant plus de 18 ans et décédé alors qu'il exerçait les fonctions de premier échevin. Une rue porte son nom à Ophain. | ||
- | '''Le Boulengé Elise''' : décédée à Braine-l'Alleud le 4 mai 1913 à l'âge de 78 ans. Epouse de Boulvin Charles. Membre du tiers-ordre de Saint-François d'Assise | + | '''Le Boulengé Elise''' : décédée à Braine-l'Alleud le 4 mai 1913 à l'âge de 78 ans. Epouse de Boulvin Charles. Membre du tiers-ordre de Saint-François d'Assise. |
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'''Lefèbre Paule''' : née à Braine-l'Alleud le 22 janvier 1928 et y décédée le 20 janvier 2011. Epouse de Bernier Jacques. Maman de Bernier Monique, Michèle et Christian. | '''Lefèbre Paule''' : née à Braine-l'Alleud le 22 janvier 1928 et y décédée le 20 janvier 2011. Epouse de Bernier Jacques. Maman de Bernier Monique, Michèle et Christian. | ||
'''Lefèvre Jules''' : né à Braine-l'Alleud le 10 décembre 1858 et décédé à l'hôpital de Buscheydt (?) le 11 janvier 1919. Il fut ramené à Braine-l'Alleud le 2 mai 1923 et inhumé le dimanche 6 mai 1923. Epoux de Dieudonné Thérèse. Ouvrier agricole habitant à Merbraine. Réquisitionné par les Allemands en octobre 1918 pour conduire un attelage, il fut écrasé par son chariot. Source : "Les Combattants et déportés de la Guerre 14-18 à Braine-l'Alleud, Ophain-Bois-Seigneur-Isaac et Lillois-Witterzée par Jean Bosse (Novembre 1993). | '''Lefèvre Jules''' : né à Braine-l'Alleud le 10 décembre 1858 et décédé à l'hôpital de Buscheydt (?) le 11 janvier 1919. Il fut ramené à Braine-l'Alleud le 2 mai 1923 et inhumé le dimanche 6 mai 1923. Epoux de Dieudonné Thérèse. Ouvrier agricole habitant à Merbraine. Réquisitionné par les Allemands en octobre 1918 pour conduire un attelage, il fut écrasé par son chariot. Source : "Les Combattants et déportés de la Guerre 14-18 à Braine-l'Alleud, Ophain-Bois-Seigneur-Isaac et Lillois-Witterzée par Jean Bosse (Novembre 1993). | ||
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'''Lefèvre Marie''' : née à Braine-l'Alleud le 5 janvier 1817 et y décédée le 17 mai 1897. Epouse de Pierre Timmermans. Elle était "tierçaire"(?) de saint François d'Assise. | '''Lefèvre Marie''' : née à Braine-l'Alleud le 5 janvier 1817 et y décédée le 17 mai 1897. Epouse de Pierre Timmermans. Elle était "tierçaire"(?) de saint François d'Assise. | ||
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+ | '''Paduwat Marie ''' Alphonsine : née à Marcq (fusionnée actuellement avec Enghien) le 21 octobre 1851 et décédée à Braine-l'Alleud le 4 mars 1915. Fille de Jean-Baptiste Paduwat et de Marie Thérèse Marin (celle-ci native de Sint-Pieters-Capelle). Epouse du premier garde-barrière Pierre Joinneau, elle est venue résider à Braine-l'Alleud dès les premiers jours de la mise en service de la ligne 124. Marie tenait le café de la Barrière, Station n° 12, où se retrouvaient les cheminots en fonction à Braine de 1896 à son décès. L'occupation allemande de notre commune aggrava sa santé. Elle eut 6 enfants qui vécurent à Braine ou dans les environs. | ||
'''Paesmans Louis''' : né à Ophain-Bois-Seigneur le 31 mai 1900 et décédé à Braine-l'Alleud le 5 mars 1971. Meunier, conseiller communal PSC et bourgmestre de Braine-l'Alleud. Fils de Cassien Paesmans, natif de Braine-l'Alleud et de Marie Demeur, native d'Ophain, il grandit dans la commune maternelle où son père a été nommé instituteur communal dans la dernière décennie du XIXème siècle. Les Paesmans reviennent à Braine à la fin de septembre 1921 où Louis reprend le métier de meunier, après le décès d'un de ses oncles. C'est donc à Sart-Moulin, près du Hain et non loin de la chaussée de Tubize qu'il exerce son métier, dans un quartier partagé entre les industries et l'agriculture.Il a épousé Marthe Jossart native d'Ophain également. Lorsque après la seconde guerre mondiale son fils René (né en 1925)reprend une majeure partie de l'activité ancestrale, il n'hésite plus à se présenter aux élections communales, sur les rangs du PSC local alors emmené par le Baron Raymond Snoy et Lise-Marie Désirant, locomotives de la liste de 1952. Il réalise d'emblée le troisième score en votes de préférences. A l'écart de l'incendie provoqué par la question royale, il rallie les scrutins de tous ceux qui veulent tourner la page et voir l'avenir communal s'inscrire dans une logique saine d'amélioration du sort de chacun. Son charisme simple et sain convaincra. Tête de liste PSC en 1958 (second score préférentiel) c'est lui qui rallie les 3 mousquetaires (André Glibert, Emile Désirant et Charles Van Gucht) formant en 1964, le pôle le plus solide des partis traditionnels, face aux socialistes alors en crise, et aux libéraux, fragiles derrière le ténor que fut Raymond Brassinne. D'où découle alors le changement de majorité, historique, auquel il participa pleinement. Au décès de Raymond Brassinne, gardant patience et sang-froid, les 3 mousquetaires proposent alors sa nomination " pour ramener le calme " et devant les divisions libérales, devient Bourgmestre par arrêté royal du 15 décembre 1967. Reconduit après les élections communales d'octobre 1970, mais épuisé physiquement, il entame son second mandat à la tête de la commune, mais décède quelques mois plus tard. Président d'honneur de l'Harmonie de Mont-Saint-Pont après la seconde guerre mondiale. | '''Paesmans Louis''' : né à Ophain-Bois-Seigneur le 31 mai 1900 et décédé à Braine-l'Alleud le 5 mars 1971. Meunier, conseiller communal PSC et bourgmestre de Braine-l'Alleud. Fils de Cassien Paesmans, natif de Braine-l'Alleud et de Marie Demeur, native d'Ophain, il grandit dans la commune maternelle où son père a été nommé instituteur communal dans la dernière décennie du XIXème siècle. Les Paesmans reviennent à Braine à la fin de septembre 1921 où Louis reprend le métier de meunier, après le décès d'un de ses oncles. C'est donc à Sart-Moulin, près du Hain et non loin de la chaussée de Tubize qu'il exerce son métier, dans un quartier partagé entre les industries et l'agriculture.Il a épousé Marthe Jossart native d'Ophain également. Lorsque après la seconde guerre mondiale son fils René (né en 1925)reprend une majeure partie de l'activité ancestrale, il n'hésite plus à se présenter aux élections communales, sur les rangs du PSC local alors emmené par le Baron Raymond Snoy et Lise-Marie Désirant, locomotives de la liste de 1952. Il réalise d'emblée le troisième score en votes de préférences. A l'écart de l'incendie provoqué par la question royale, il rallie les scrutins de tous ceux qui veulent tourner la page et voir l'avenir communal s'inscrire dans une logique saine d'amélioration du sort de chacun. Son charisme simple et sain convaincra. Tête de liste PSC en 1958 (second score préférentiel) c'est lui qui rallie les 3 mousquetaires (André Glibert, Emile Désirant et Charles Van Gucht) formant en 1964, le pôle le plus solide des partis traditionnels, face aux socialistes alors en crise, et aux libéraux, fragiles derrière le ténor que fut Raymond Brassinne. D'où découle alors le changement de majorité, historique, auquel il participa pleinement. Au décès de Raymond Brassinne, gardant patience et sang-froid, les 3 mousquetaires proposent alors sa nomination " pour ramener le calme " et devant les divisions libérales, devient Bourgmestre par arrêté royal du 15 décembre 1967. Reconduit après les élections communales d'octobre 1970, mais épuisé physiquement, il entame son second mandat à la tête de la commune, mais décède quelques mois plus tard. Président d'honneur de l'Harmonie de Mont-Saint-Pont après la seconde guerre mondiale. | ||
'''Paesmans Rémi-François-Ghislain''' : né à Braine-l'Alleud le 22 juillet 1920 et y décédé le 9 septembre 1922. La messe d'ange, corps présent, a été célébrée le mardi 12 septembre 1922 à 8 heures en l'église paroissiale de Saint-Etienne. | '''Paesmans Rémi-François-Ghislain''' : né à Braine-l'Alleud le 22 juillet 1920 et y décédé le 9 septembre 1922. La messe d'ange, corps présent, a été célébrée le mardi 12 septembre 1922 à 8 heures en l'église paroissiale de Saint-Etienne. | ||
- | '''Paesmans Sébastien''' : né à Alsemberg le 29 mai 1817 et décédé à Braine-l'Alleud le 25 février 1887. Fils de Guillaume Paesmans, originaire d'Alsemberg et de Emerance Dehoc, ses parents viennent se fixer à Mont-Saint-Pont, reprenant le bail du moulin en 1819, à Jean Martin Langhendries lequel part s'établir à Waterloo. C'est là que grandit Sébastien. Fils de meunier, ce sera son métier et sa préoccupation centrale, sa vie durant. En 1840, son destin prend forme, succédant à son père dans ses responsabilités de meunier principal à Mont-Saint-Pont, et en se mariant à la fille du meunier Jean-Baptiste Piel établi, quant à lui, depuis 1835, à Sart-Moulin.Son épouse Désirée Piel est native de Drucourt, commune du département de l'Eure en France, ne vivra hélàs pas longtemps, et son décès le 27 octobre 1845, est une épreuve majeure de sa vie. Seule une fille, Adélaïde survit à leur mariage, mais au remariage avec une nivelloise, Renelde Pigeolet, les parents de sa première épouse quittent Braine-l'Alleud, revendant sous seing privé le moulin, emmenant la petite Adélaïde. Sébastien Paesmans, opte alors pour le moulin Piel et achève son bail à Mont-Saint-Pont. De son second mariage, il aura 7 enfants en bonne santé, 4 fils et 3 filles. Parmi eux, René, qui reprendra le métier de meunier (né le 23 février 1851) et Cassien, deviendra instituteur (né le 15 avril 1863), Marie, qui vivra jusqu'à la seconde guerre mondiale assurera l'intendance familiale. En 1863, le sort frappe une nouvelle fois très durement. Alors que Sébastien a décidé de rénover et d'agrandir le patrimoine et les installations du moulin, il contracte deux emprunts importants auprès de membres de la famille Jottrand résidant à Saint-Josse-ten-Noode. Quelques mois plus tard, en septembre, le moulin flambe et est quasi totalement détruit. | + | '''Paesmans Sébastien''' : né à Alsemberg le 29 mai 1817 et décédé à Braine-l'Alleud le 25 février 1887. Fils de Guillaume Paesmans, originaire d'Alsemberg et de Emerance Dehoc, ses parents viennent se fixer à Mont-Saint-Pont, reprenant le bail du moulin en 1819, à Jean Martin Langhendries lequel part s'établir à Waterloo. C'est là que grandit Sébastien. Fils de meunier, ce sera son métier et sa préoccupation centrale, sa vie durant. En 1840, son destin prend forme, succédant à son père dans ses responsabilités de meunier principal à Mont-Saint-Pont, et en se mariant à la fille du meunier Jean-Baptiste Piel établi, quant à lui, depuis 1835, à Sart-Moulin.Son épouse Désirée Piel est native de Drucourt, commune du département de l'Eure en France, ne vivra hélàs pas longtemps, et son décès le 27 octobre 1845, est une épreuve majeure de sa vie. Seule une fille, Adélaïde survit à leur mariage, mais au remariage avec une nivelloise, Renelde Pigeolet, les parents de sa première épouse quittent Braine-l'Alleud, revendant sous seing privé le moulin, emmenant la petite Adélaïde. Sébastien Paesmans, opte alors pour le moulin Piel et achève son bail à Mont-Saint-Pont. De son second mariage, il aura 7 enfants en bonne santé, 4 fils et 3 filles. Parmi eux, René, qui reprendra le métier de meunier (né le 23 février 1851) et Cassien, deviendra instituteur (né le 15 avril 1863), Marie, qui vivra jusqu'à la seconde guerre mondiale assurera l'intendance familiale. En 1863, le sort frappe une nouvelle fois très durement. Alors que Sébastien a décidé de rénover et d'agrandir le patrimoine et les installations du moulin, il contracte deux emprunts importants auprès de membres de la famille Jottrand résidant à Saint-Josse-ten-Noode. Quelques mois plus tard, en septembre, le moulin flambe et est quasi totalement détruit. Reconstruit et modernisé, le moulin Paesmans retrouva toute son importance quelques temps plus tard, confortée par l'application de la force motrice de l'électrification. Pour trois générations encore.... |
- | Rédaction Ph.B. Sources : état-civil de Braine-l'Alleud et Ophain-Bois-Seigneur-Isaac; cadastre du Brabant, enregistrement. Sur l'incendie et les prêts : Notariat Général du Brabant Minutes du notaire Félix Gouttier année 1863, Gazette de Nivelles relatant sur deux numéros consécutifs les détails de l'accident. | + | Rédaction Ph.B. Sources : état-civil de Braine-l'Alleud et Ophain-Bois-Seigneur-Isaac; cadastre du Brabant, enregistrement. Sur l'incendie et les prêts : Notariat Général du Brabant Minutes du notaire Félix Gouttier année 1863, Gazette de Nivelles relatant sur deux numéros consécutifs les détails de l'accident. |
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'''Parmentier Aurélie''' : née à Braine-l'Alleud, le 30 octobre 1853 et décédée à Waterloo, le 20 septembre 1921. Epouse de Ducarme Henri. | '''Parmentier Aurélie''' : née à Braine-l'Alleud, le 30 octobre 1853 et décédée à Waterloo, le 20 septembre 1921. Epouse de Ducarme Henri. | ||
'''Sansterre Justinien''' : né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1866 et y décédé le lundi 9 décembre 1912. Epoux de Castiaux Coralie. Décoré de la Médaille industrielle de 2ème classe. | '''Sansterre Justinien''' : né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1866 et y décédé le lundi 9 décembre 1912. Epoux de Castiaux Coralie. Décoré de la Médaille industrielle de 2ème classe. | ||
- | ''' | + | '''Schépers Constant-Joseph''' : né à Grez-Doiceau le 26 septembre 1849 et décédé à Braine-l'Alleud, le 2 mars 1909. Fils de Constant Joseph Schépers et de Jeanne Guilmain. Il épouse Marie-Thérèse Rémy, originaire de Grez-Doiceau, comme lui. le 4 septembre 1872. Son père était décédé pendant son service militaire, le 31 août 1868 et il était déjà orphelin maternel depuis ses 7 ans. Il fut nommé sous-instituteur à Braine-l'Alleud en avril 1869, puis Instituteur en chef en novembre 1874. En 1880, le gouvernement libéral de Frère-Orban pensa à lui et lui proposa le poste d'inspecteur de l'enseignement officiel dans la province de Brabant. Il hésita mais sur l'insistance d'Achille Wayez, bourgmestre de Braine, il resta en poste dans notre localité.C'est Constant Schépers qui devint titulaire de la direction de l'école primaire lors de son transfert de la rue de l'Ancien Bourg actuelle à la rue Schépers alors nommée rue de l'enseignement.En charge de l'organisation générale des classes, il fut aussi et surtout un pédagogue brillant et renommé.Il voulut stimuler ses élèves à s'améliorer et leur proposait volontiers de se présenter au concours organisés entre les écoles dans des épreuves visant à améliorer le niveau des connaissances et la formation du caractère pour permettre au plus grand nombre d'entre eux d'entrer dans la vie sociale munis d'un solide bagage. Il fut: collaborateur aux journaux Wallonia et l'Annonce Brabançonne (sous le pseudo : "Céjiesse" ses initiales : CJS). En tant qu'instituteur il estimait que l'éducation des enfants du peuple devait être réalisée en fonction de l'instruction laïque, scientifique, comme nombre de bourgeois le revendiquaient au milieu du XIXème siècle. C'est pourquoi il voulut toujours garder une totale indépendance à l'égard du clergé, et à Braine-l'Alleud, cela signifiait une distance très nette par rapport au Curé-Doyen d'alors, Adolphe Hoofs, dont la force de caractère était fortement trempée par une obédience farouche à la seule hiérarchie ecclésiastique. C'est pour cette raison que Schépers se rallia d'emblée au milieu libéral brainois et qu'il fut un des membres fondateurs du cercle libéral "Le Progrès" en juin 1884 lors d'une réunion qui se tint chez Albert Daye à l'Estrée,[[Chaussée d'Alsemberg]].Il revendiqua aussi sa participation au cercle de la Libre-Pensée du Brabant. Il était aussi président du cercle pédagogique cantonal. Il a publié plusieurs livres soit à finalité pédagogique, soit à vocation culturelle tels que son récit de la bataille de Waterloo (1894) et un réputé almanach brainois (1891). Dans le cimetière du centre, un mémorial rappelle également son souvenir, il a été élevé sur sa tombe par ses anciens amis et élèves en octobre 1909.Il fut aussi musicien et soutien effectif de l'Harmonie de Braine-l'Alleud. Après avoir résidé dans les deux écoles primaires qu'il dirigeait, il fit construire dans le nouveau quartier de Saint-Sébastien, dans l'actuelle rue de la Croix où il termina ses jours. Père d'Ivan (né le 27 juin 1873) et de Juliette Schépers (née le 5 février 1877). In memoriam. Ph.B. |
'''Scocaert Elisa''' : née à Braine-l'Alleud le 23 septembre 1854 et y décédée le 28 avril 1911. Epouse de Van Cabeke Victor. | '''Scocaert Elisa''' : née à Braine-l'Alleud le 23 septembre 1854 et y décédée le 28 avril 1911. Epouse de Van Cabeke Victor. | ||
'''Spiltoir René''' : né à Amiens (France) le 14 octobre 1932 et décédé à Braine-l'Alleud le 26 janvier 2010. Epoux de Rousseau Christiane. Papa de Spiltoir Etienne. | '''Spiltoir René''' : né à Amiens (France) le 14 octobre 1932 et décédé à Braine-l'Alleud le 26 janvier 2010. Epoux de Rousseau Christiane. Papa de Spiltoir Etienne. | ||
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+ | '''Springal Pierre''' Joseph : né à Braine-l'Alleud le 13 mars 1837 et y décédé le 14 juin 1911. Fils de Jean-Baptiste Springal et de Marie-Thérèse Cumps. Epoux de Marie Parmentier. Maçon puis entrepreneur en constructions. Instruction acquise, il entre en association avec Pierre-Louis Glibert, entrepreneur et financier en son temps favorisé par le Ministre d'Etat Edouard Mercier (voir ce nom). Il devient ainsi le principal maître - maçon à l'époque où se bâtit tout le quartier de la gare. Il est aussi le maître d'oeuvre de plusieurs maisons de la place Sainte-Anne, dont celle de son domicile (n° 16). Il participe à deux reprises aux luttes électorales de notre commune, en 1887 et 1890, en support de la liste catholique. Il termine paisiblement sa vie en rentier. | ||
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'''Spruyt Adhémar''' : né à Braine-l'Alleud le 28 juin 1879 ( rue du Môle 10 ) et y décédé le 23 novembre 1965 ( rue Pierre Flamand 46 ) fils de François Spruyt (plafonneur) et de Hélène Debusse. Epoux d'Irma Naverne le 14 janvier 1914, sans descendance. Négociant en matériaux de constructions. | '''Spruyt Adhémar''' : né à Braine-l'Alleud le 28 juin 1879 ( rue du Môle 10 ) et y décédé le 23 novembre 1965 ( rue Pierre Flamand 46 ) fils de François Spruyt (plafonneur) et de Hélène Debusse. Epoux d'Irma Naverne le 14 janvier 1914, sans descendance. Négociant en matériaux de constructions. | ||
'''Wézel Louise-Eugénie-Ghislaine''' : née à Braine-l'Alleud le 26 octobre 1872 et y décédée le 11 juin 1894. | '''Wézel Louise-Eugénie-Ghislaine''' : née à Braine-l'Alleud le 26 octobre 1872 et y décédée le 11 juin 1894. | ||
- | '''Willeman Jean-Marc''': né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1962 et décédé inopinément à Saint-Gilles, le 2 décembre 1987. Fils de Willeman Jean. Frère de Willeman Yanec, | + | '''Willeman Jean-Marc''': né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1962 et décédé inopinément à Saint-Gilles, le 2 décembre 1987. Fils de Willeman Jean et de Kubiack Thérèse. Frère de Willeman Yanec, Fabienne, Agnès, Jean-Pierre et Geneviève. A habité [[Route du Lion]]. |
'''Wilputte Armand''' : né à Ophain-Bois-Seigneur-Isaac le 27 août 1913 et décédé à Herent le 9 mars 1969 après une longue et pénible maladie. Fils de Wilputte Hubert et de Chrétien Placide. Epoux de Massart Marguerite. Père de Wilputte Claire. A habité au n°28 de la rue du Try à Ophain. | '''Wilputte Armand''' : né à Ophain-Bois-Seigneur-Isaac le 27 août 1913 et décédé à Herent le 9 mars 1969 après une longue et pénible maladie. Fils de Wilputte Hubert et de Chrétien Placide. Epoux de Massart Marguerite. Père de Wilputte Claire. A habité au n°28 de la rue du Try à Ophain. | ||
'''Wynen Sophie''' : décédée au Kenya des suites d'un traumatisme crânien consécutif à une chute, le lundi 22 janvier 2007 à l'âge de 26 ans. Soeur de Wynen Thomas. Ingénieur. | '''Wynen Sophie''' : décédée au Kenya des suites d'un traumatisme crânien consécutif à une chute, le lundi 22 janvier 2007 à l'âge de 26 ans. Soeur de Wynen Thomas. Ingénieur. | ||
- | == | + | == Portraits divers == |
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+ | [[Barette Willy]] | ||
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+ | [[Bosse Jean]] | ||
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+ | [[Brassinne Raymond]] | ||
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+ | [[Brassinne Norbert]] | ||
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+ | [[Demets Jules]] | ||
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+ | [[Dewez Lucie]] | ||
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+ | [[D'Hoker Victorine]] | ||
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+ | [[Eggermont Jacques]] | ||
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+ | [[Gervy Ernest]] | ||
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+ | [[Hans Jules]] | ||
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+ | [[Hauftenne Etienne]] | ||
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+ | [[Lambert Edmond]] | ||
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+ | [[Landercy Hector]] | ||
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+ | [[Landercy Lucien]] | ||
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+ | [[Laurent Ernest]] | ||
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+ | [[Lanis Cyprien]] | ||
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+ | [[Léozard]] | ||
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+ | [[Leroy Jean]] | ||
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+ | [[Mertens Jules]] | ||
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+ | [[Mambour Emile]] | ||
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+ | [[Ruquoy Louis]] | ||
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+ | [[Schépers Constant-Joseph]] | ||
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+ | [[Vanderplancq Adrien]] | ||
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+ | [[Vanstenagen Claude]] | ||
+ | |||
+ | [[Vincx Alain]] | ||
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+ | [[Waroquet Léon]] | ||
- | [[ | + | [[Wézel François]] |