Service des Eaux

Carte postée en 1909 : château d'eau de Saint-Sébastien, chemin des Oisillons (Avenue Alphonse Allard). Ce château d'eau était alimenté par un puits qui a dû être mis hors service en 1974 pour des raisons de pollution. Collection : Jean-Marc Wautier.

Chemin des Oisillons (avenue Alphonse Allard). Collection: Franky Hemelhof.

Vers 1953. Collection : Brania.

Usine de La Vau (en 1910) construite en 1859 pour envoyer les eaux du voisinage vers la capitale Bruxelles. Alain Senterre: "Les Brainois appelaient ces bâtiments, la "Machine des eaux"." Bernard Pijpaert: "Le terme "Machine des eaux" vient du fait que les eaux captées sur les territoires de Lillois et Braine et acheminées via le collecteur du Hain vers l'usine La Vau étaient refoulées via des pompes dans un collecteur supérieur ,qui lui passait dans le pont aqueduc (Rue des Piles) et par gravité "conduisait" l'eau jusque Bruxelles ou elle était distribuée. A l'heure actuelle, ce sont des conduites "forcées" qui acheminent l'eau vers les réservoirs de la capitale, production journalière + - 450.000 m3 pour l'ensemble des captages de Vivaqua(provinces de Namur - Hainaut- Brabant wallon)". Voir aussi : Chemin des Eglantiers. Collection : Jean-Marc Wautier.

Carte écrite le 28 mars 1901 : aqueduc de la CIBE (Compagnie Intercommunale Bruxelloise des Eaux) à Mont-Saint-Pont vu depuis la chaussée d'Alsemberg (côte de l'Ermite). La CIBE capte les eaux des riches nappes aquifères de Braine et les transporte vers Bruxelles par un astucieux système d'élévation et de canalisations inauguré en 1855. L'aqueduc part de l'usine hydraulique du chemin des Eglantiers (Usine de La Vau) et entre au bois de la Cambre(Bruxelles)après 15,188 km d'un parcours où l'eau s'écoule par gravité. Voir aussi Rue des Piles. Collection : Jean-Marc Wautier.

21 septembre 2015 : château d'eau de laRue du Château d'Eau à l'Ermite. Photo : Jean-François Piraux.

1934.

Collection : André Allard.