Rue Joseph Gos
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[[Fichier:Panor09.JPG|600px|thumb|right| Carte postée en 1909. Collection : Jean-Marc Wautier.]] | [[Fichier:Panor09.JPG|600px|thumb|right| Carte postée en 1909. Collection : Jean-Marc Wautier.]] | ||
[[Fichier:JG_(12).JPG|600px|thumb|left|Rue Champ Craya (actuelle rue Joseph Gos) depuis son sommet vers 1900. Collection: Jean-Marc Wautier.]] | [[Fichier:JG_(12).JPG|600px|thumb|left|Rue Champ Craya (actuelle rue Joseph Gos) depuis son sommet vers 1900. Collection: Jean-Marc Wautier.]] | ||
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[[Fichier:JG_(7).jpg|600px|thumb|right| A gauche: le "château Saint-Etienne" et à droite : la cure.]] | [[Fichier:JG_(7).jpg|600px|thumb|right| A gauche: le "château Saint-Etienne" et à droite : la cure.]] |
Version du 30 juillet 2013 à 17:56
Voir aussi Rue et place Colo Hugues, Rue Saint-Laurent, Rue de la Fosse au Sable
Jadis : rue Champ Craya.
1908 (12 décembre) : vu la demande des riverains, il est décidé d'aménager en rue la ruelle du champ Craya. Source : "Le P'tit Brania" (2ème semestre 2008)
Joseph Gos est un résistant de la région de Charleroi, membre du refuge Ours de l'Armée Secrète (AS). C'est dans la nuit du 3 février 1944 que 4 hommes du groupe du refuge Ours projettent une action contre les occupants allemands. Partis de la Rue Sainte-Anne, ils passent par la Rue du Petit Jean et remontent la rue Champ Craya. Tout à coup, dans la nuit noire, deux cyclistes allemands sortent du château Saint-Laurent et, apercevant le commando, balayent la rue de la lumière de leurs phares. Les résistants ouvrent le feu, Les Allemands tombent mais l'un d'eux n'est que blessé et fait le mort. Lorsque Joseph Gos se précipite pour aller s'emparer des armes, le soldat allemand ouvre le feu et l'abat. Une stèle rappelle au passant l'endroit où est tombé Joseph Gos et son nom a été donné à la rue où il est tombé les armes à la main. (Source : "Braine-l'Alleud - Origine des noms des lieux-dits et des rues" par Gaston Philippe (Editions Quorum - 1997)).
2008 (8 mars) : permis d'urbanisme annulé par le Conseil d'Etat pour le 46, rue Joseph Gos. Voir archives Le Soir