Belgique miniature
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[[Fichier:Bm_(6).jpg|400px|thumb|left| 1971 : morceau de ce qui reste de la mer du Nord. A l'arrière-plan, le quartier "Prince d'Orange". Collection : Yves Castel. ]] | [[Fichier:Bm_(6).jpg|400px|thumb|left| 1971 : morceau de ce qui reste de la mer du Nord. A l'arrière-plan, le quartier "Prince d'Orange". Collection : Yves Castel. ]] | ||
+ | [[Fichier:Bm_(8).jpg|400px|thumb|left| Avion exposé sur le site de la Belgique miniature.]] | ||
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Version du 25 septembre 2011 à 10:56
En septembre 1958, sous l'impulsion de Jacques Herrent, Belgique miniature ouvre ses portes à l'emplacement actuel du Complexe sportif Gaston Reiff.
La famille Chabeau a mis sept hectares à la disposition de Jacques Herrent et la commune y investit la somme de 700 000 francs belges. Diverses sociétés industrielles (Shell, Unilever, Solo, Planta, Gosset, Delacre, ...) participent également au projet.
Il s'agit d'une reconstitution d'une carte de Belgique en béton à l'échelle 1/10 000ème soit un relief d'environ 175 m sur 120. Chaque commune importante y est représentée par une petite église en bois peint. On y retrouvait aussi la mer du Nord, les principales lignes de chemin de fer, le réseau hydrographique,...
Très vite, le peu d'entrées et la hauteur des frais d'investissement et de fonctionnement posent de nombreux problèmes. On y ajoute, malgré tout, un petit parc d'attractions et une piste de karting.
De profonds différends entre les administrateurs et même au niveau des autorités communales apparaissent. Jacques Herrent préfère démissionner. Le bilan sera bientôt déposé.
La buvette de Belgique miniature existe encore, elle sert de cafétéria au Complexe sportif Gaston Reiff.
Voir aussi Vers l'Avenir du 18 avril 2008