Kursaal

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Démunis de tout appui financier, ils organisent une soirée théâtrale, dite de gala, et ce en la salle du cinéma " Kursaal " , prêtée gracieusement par Robert Vanderbeck, le père de Jean. Le dévouement de ces cinq jeunes et la vente " porte à porte " des billets d'entrée, donnèrent un succès inespéré à la pièce de théâtre interprétée par Monsieur et Madame Hottiat. L'enchère américaine menée de main de maître par Willy Charlez compléta le bénéfice (environ 5000Fr).
Démunis de tout appui financier, ils organisent une soirée théâtrale, dite de gala, et ce en la salle du cinéma " Kursaal " , prêtée gracieusement par Robert Vanderbeck, le père de Jean. Le dévouement de ces cinq jeunes et la vente " porte à porte " des billets d'entrée, donnèrent un succès inespéré à la pièce de théâtre interprétée par Monsieur et Madame Hottiat. L'enchère américaine menée de main de maître par Willy Charlez compléta le bénéfice (environ 5000Fr).
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Vers 1986 : fermeture du cinéma.   
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Vers 1986: Mr Jean Vanderbeck remet la salle de cinéma qui fermera ses portes en 1987.  
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1998: Charles Van Gucht dans « Le patrimoine en fête Brabant wallon – Ouvrage collectif édité à l’initiative du Centre culturel du Brabant wallon » : ''"Une troisième salle à caractère politique se trouvait au début de la chaussée d’Alsemberg, à l’arrière du café « La Concorde ». Petite, la salle comptait maximum 80 places. Elle a servi de local aux libéraux brainois jusqu’aux années 1960-1962. A l’arrière de cet ensemble, qui n’existe plus aujourd’hui, il y avait la grande salle du Kursaal. C’était un cinéma et un lieu de représentations de spectacles de variétés. Le cinéma a cessé ses activités et la salle est restée vide."''
2004 : article du journal "Le Soir":''"C'est finalement le cinéma Kursaal au début de la chaussée d'Alsemberg qui eut la plus longue histoire puisqu'on situe son ouverture au début du XXe siècle et qu'il a fermé ses guichets vers 1985. La salle, équipée de balcons, était l'une des plus belles et des plus grandes de la région : 418 places selon le souvenir d'Emile Désirant, ancien bourgmestre de Braine-l'Alleud. C'était d'ailleurs, d'après lui, un véritable pôle culturel géré par son propriétaire Jean Vanderbecq qui habitait quelques maisons plus loin. Raymond Devos, Gilbert Bécaud...et un paquet d'autres artistes ont foulé ses planches quand les films leur laissaient la place."''
2004 : article du journal "Le Soir":''"C'est finalement le cinéma Kursaal au début de la chaussée d'Alsemberg qui eut la plus longue histoire puisqu'on situe son ouverture au début du XXe siècle et qu'il a fermé ses guichets vers 1985. La salle, équipée de balcons, était l'une des plus belles et des plus grandes de la région : 418 places selon le souvenir d'Emile Désirant, ancien bourgmestre de Braine-l'Alleud. C'était d'ailleurs, d'après lui, un véritable pôle culturel géré par son propriétaire Jean Vanderbecq qui habitait quelques maisons plus loin. Raymond Devos, Gilbert Bécaud...et un paquet d'autres artistes ont foulé ses planches quand les films leur laissaient la place."''
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6)Benoit Raymond:''"Je me souviens y avoir été assister en 1964/65 à un récital de piano donné par Jean-Claude Vanden Eynden, lauréat du concours Reine Elisabeth . J'avais revêtu mon premier costume et observé un silence complet . Quel beau souvenir !!!"''
6)Benoit Raymond:''"Je me souviens y avoir été assister en 1964/65 à un récital de piano donné par Jean-Claude Vanden Eynden, lauréat du concours Reine Elisabeth . J'avais revêtu mon premier costume et observé un silence complet . Quel beau souvenir !!!"''
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7)Simone Lejeune ([["Des Brainois prennent la plume - En hommage à Gaston Philippe et Charles Van Gucht." (Editions Mols - 2006)]] page 29) : ''"Plus amusante et trépidante fut l'époque du cinéma Kursaal qui drainait vers la chaussée d'Alsemberg énormément de monde. Je n'oublierai jamais les soirées de gala avec des orchestres réputés, tels, "Les Cousins", Jacques Hélian, les chanteurs Adamo, Cogoi et bien d'autres encore ainsi que les ballets "Les Ambrosinettes". Le samedi soir, le "Caveau" du Kursaal faisait le plein de danseurs à la grande époque du rock and roll, ainsi que les mémorables bals du Basket Brainois."''
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8)Yves Heekhout: ''"Je me souviens, entre autres, d'un concert de Pierre Rapsat où nous devions être quelques dizaines dans la salle. Nous avions retrouvé les artistes au Hill, place du Môle, après le concert."''
En 1992, Nelson Delle-Vigne Fabbri, pianiste, et son épouse rachètent le bâtiment à Jean Vanderbeck pour en faire le siège de la Fondation Bell’Arte, association internationale sans but lucratif, qui a comme but de soutenir de jeunes musiciens (pianistes, chanteurs lyriques, violonistes…), peintres, … et d’organiser des expositions, concerts etc,  afin de rendre la culture accessible à un maximum de gens.
En 1992, Nelson Delle-Vigne Fabbri, pianiste, et son épouse rachètent le bâtiment à Jean Vanderbeck pour en faire le siège de la Fondation Bell’Arte, association internationale sans but lucratif, qui a comme but de soutenir de jeunes musiciens (pianistes, chanteurs lyriques, violonistes…), peintres, … et d’organiser des expositions, concerts etc,  afin de rendre la culture accessible à un maximum de gens.
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[[Fichier:Chals_(28).jpg|600px|thumb|left|Teinturerie et fabrique de tissus H.Gérard et Fils, en 1898. ]]
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[[Fichier:Teint.jpg|600px|thumb|right|Teinturerie et fabrique de tissus H.Gérard et Fils, chaussée d'Alsemberg. Photo du 11 mars 1898.]]
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[[Fichier:Kur12.jpg|600px|thumb|left| Annonce Brabançonne du samedi 24 novembre 1912. Collection : Josiane Pierart.]]
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[[Fichier:Kur12.jpg|600px|thumb|left| L'Annonce Brabançonne du samedi 24 novembre 1912. Collection : Josiane Pierart.]]
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[[Fichier:Chaussée_d'Alsemberg_(6).jpg|400px|thumb|left|Début de la chaussée d'Alsemberg vers 1924. Le bâtiment à gauche est le café La Concorde. Il prit la place de la teinturerie et fabrique de tissus H.Gérard et fils. Le café fut tenu par Armand Hancq puis par Madeleine Tielemans.]]
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[[Fichier:Kur12_(2).jpg|600px|thumb|right|L'Annonce Brabançonne du samedi 14 septembre 1912. Collection : Josiane Pierart.]]
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[[Fichier:Chaussée_d'Alsemberg_(6).jpg|400px|thumb|left|Début de la chaussée d'Alsemberg vers 1924. Le bâtiment à gauche est le café La Concorde. Il prit la place de la teinturerie et fabrique de tissus H.Gérard et fils. Le café fut tenu par Armand Hancq puis par Madeleine Tilman.]]
[[Fichier:Kur_(4).JPG|400px|thumb|right|1919. Collection : [[Brania]].]]
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[[Fichier:Kur_(3).jpg|400px|thumb|right|Collection : BellArte Icpa‎.]]
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[[Fichier:Kur190103.jpg|600px|thumb|left| 3 janvier 2019 : l'arrière de l'ancien Kursall, photo prise depuis la pédiatrie de la [[Rue Wayez]]. Photo : David Holoffe.]]
[[Fichier:Kur190103.jpg|600px|thumb|left| 3 janvier 2019 : l'arrière de l'ancien Kursall, photo prise depuis la pédiatrie de la [[Rue Wayez]]. Photo : David Holoffe.]]
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[[Fichier:Kur1905.jpg|400px|thumb|left| Du 3 au 12 mai 2019...]]
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[[Fichier:Kur190503.jpg|600px|thumb|right| 3 mai 2019: vernissage de l'exposition. Sur la photo : Nelson et Hilde Delle-Vigne Fabbri, Jacques Mercier,... Photo : Véronique Denis-Simon.]]

Version du 6 mai 2019 à 15:14

Voir aussi Chaussée d'Alsemberg, Chaussée d'Alsemberg : les maisons.

1857 : sur l'emplacement du cinéma Kursaal,le père du futur Cardinal Mercier, Paul-Léon Mercier (1808-1858) fait bâtir une distillerie de grains et lui adjoint une machine à vapeur provenant de Virginal. La mise en fonction aboutit peu de temps après à une explosion et un incendie consécutif. Cet incident acheva de ruiner la santé de Paul Mercier qui décéda en 1858, à l'âge de 50 ans. Rappelons que l'on doit à Paul Mercier différents portraits familiaux peints dès 1830, date où il s'engagea volontairement en participant à la révolution Belge. Barbe Croquet (1815-1882) assura la continuité de l'entreprise de son mari et confia la direction à Félix Franck. La firme cessa cette activité en 1865.

1866 : la veuve de Paul Mercier vend à Grégoire Gérard (1799-1878) acquéreur en son nom et pour ses fils établis alors à Bruxelles François et Hilaire Gérard, les bâtiments de l'ancienne distillerie Mercier. Transformée en teinturerie d'étoffes et de fil de coton, l'entreprise ne cessera de croître dans la décennie suivante. En 1871 et en 1880, notamment, les cuves sont équipées de machines à vapeur de plus en plus puissantes. Des transformations notables et agrandissements sont opérées. Les frères Gérard font également construire la série des habitations qui voisinent en descendant vers l'Estrée, occupées principalement par des teinturiers.

1907: démolition de l'usine (retorderie de coton et teinturerie) que les industriels Gérard possédaient au Castegier. Une partie de cette industrie est convertie en salle de spectacles : la Concorde est inaugurée le dimanche 22 septembre 1907. Son premier tenancier est Georges Ducarme, musicien à l'Harmonie de Braine, auquel succédera Fernand Raes après la première guerre mondiale. Dans ce lieu où se tiendra le cinéma Kursaal, se déroulent outre des meetings politiques libéraux, des conférences, des bals bleus, les premières "Explorations du monde" (récits de voyages avec support cinématographique) inaugurés par les frères Gustave, Jules et Léon Gérard dès 1910 ( voyages en Tunisie et au Maroc ).

1939 (automne): 5 jeunes (Jean Lescerve, Jean Vanderbeck, Willy Charlez, Edouard Jacobs, ainsi qu'Hilaire Godeau) décident de fonder à Braine-l'Alleud un club de basket-ball. Démunis de tout appui financier, ils organisent une soirée théâtrale, dite de gala, et ce en la salle du cinéma " Kursaal " , prêtée gracieusement par Robert Vanderbeck, le père de Jean. Le dévouement de ces cinq jeunes et la vente " porte à porte " des billets d'entrée, donnèrent un succès inespéré à la pièce de théâtre interprétée par Monsieur et Madame Hottiat. L'enchère américaine menée de main de maître par Willy Charlez compléta le bénéfice (environ 5000Fr).

Vers 1986: Mr Jean Vanderbeck remet la salle de cinéma qui fermera ses portes en 1987.

1998: Charles Van Gucht dans « Le patrimoine en fête Brabant wallon – Ouvrage collectif édité à l’initiative du Centre culturel du Brabant wallon » : "Une troisième salle à caractère politique se trouvait au début de la chaussée d’Alsemberg, à l’arrière du café « La Concorde ». Petite, la salle comptait maximum 80 places. Elle a servi de local aux libéraux brainois jusqu’aux années 1960-1962. A l’arrière de cet ensemble, qui n’existe plus aujourd’hui, il y avait la grande salle du Kursaal. C’était un cinéma et un lieu de représentations de spectacles de variétés. Le cinéma a cessé ses activités et la salle est restée vide."

2004 : article du journal "Le Soir":"C'est finalement le cinéma Kursaal au début de la chaussée d'Alsemberg qui eut la plus longue histoire puisqu'on situe son ouverture au début du XXe siècle et qu'il a fermé ses guichets vers 1985. La salle, équipée de balcons, était l'une des plus belles et des plus grandes de la région : 418 places selon le souvenir d'Emile Désirant, ancien bourgmestre de Braine-l'Alleud. C'était d'ailleurs, d'après lui, un véritable pôle culturel géré par son propriétaire Jean Vanderbecq qui habitait quelques maisons plus loin. Raymond Devos, Gilbert Bécaud...et un paquet d'autres artistes ont foulé ses planches quand les films leur laissaient la place."

"En dessous de la salle se trouvait un bar, qui était devenu le rendez-vous de la jeunesse de l'époque, se souvient Jacques Langlais, historien local. Les ados y passaient après la séance de l'après-midi pour laisser ensuite la place à leurs aînés en soirée. Emmanuel Hendrickx, autre ancien bourgmestre, a des souvenirs encore plus précis : l'endroit s'appelait le Caveau. C'était un bar-dancing, le premier vrai rendez-vous branché de la région que son propriétaire avait ouvert vers 1955 en dessous de son cinéma."

"Emmanuel Hendrickx, qui fréquentait régulièrement le cinéma avec son frère à l'époque où ils étaient encore en culottes courtes, trouvait cette salle tellement splendide qu'il voulut l'acquérir pour la commune lors de sa fermeture. Cela aurait été un outil culturel incroyable. Cela n'a finalement pas été possible à cause d'un manque de parkings à proximité."

"Aujourd'hui, la salle du Kursaal existe toujours. A son entrée subsistent encore les guichets dont un exemplaire en bois qui pourrait trouver sa place dans un musée. L'endroit est utilisé par des musiciens comme lieu de répétitions et d'enregistrements." Source : archives du Soir 2004

Témoignages:

1)Gérard Durys: "On y organisait également des soirées dansantes comme celles du club de basket de Braine-l'Alleud du temps de Gaston Philippe. Il y a eu en vedette le chanteur Marc Ayrian et je crois Claude Brasseur. Notre club de football de l'épique l'AFC Braine y a aussi organisé une soirée. Et puis il y avait le caveau au niveau -1 avec un bar bien sympathique. Ah nostalgie. Que de souvenirs heureux!"

2)Michel Bourgeys: "Dans les années 60, j'ai été voir Eddy Mitchel et les Chaussettes Noires et Dik Rivers et les Chats Sauvages. Toute une époque!"

3)Dominique Manandise: "Il y avait aussi Exploration du Monde,en sortie scolaire. Aussi des pièces de théâtre,notamment avec Christiane Lenain et Serge Michel..."

4)Laurent Vercleyen-Vicentini: "On y allait pour la Saint-Nicolas avec l'école. On recevait des bonbons, un chocolat chaud et on regardait un Amour de Coccinelle..."

5)Nicolas Brassinne: "...avec son élégant balcon et les sièges bordeaux en velours !!!"

6)Benoit Raymond:"Je me souviens y avoir été assister en 1964/65 à un récital de piano donné par Jean-Claude Vanden Eynden, lauréat du concours Reine Elisabeth . J'avais revêtu mon premier costume et observé un silence complet . Quel beau souvenir !!!"

7)Simone Lejeune ("Des Brainois prennent la plume - En hommage à Gaston Philippe et Charles Van Gucht." (Editions Mols - 2006) page 29) : "Plus amusante et trépidante fut l'époque du cinéma Kursaal qui drainait vers la chaussée d'Alsemberg énormément de monde. Je n'oublierai jamais les soirées de gala avec des orchestres réputés, tels, "Les Cousins", Jacques Hélian, les chanteurs Adamo, Cogoi et bien d'autres encore ainsi que les ballets "Les Ambrosinettes". Le samedi soir, le "Caveau" du Kursaal faisait le plein de danseurs à la grande époque du rock and roll, ainsi que les mémorables bals du Basket Brainois."

8)Yves Heekhout: "Je me souviens, entre autres, d'un concert de Pierre Rapsat où nous devions être quelques dizaines dans la salle. Nous avions retrouvé les artistes au Hill, place du Môle, après le concert."

En 1992, Nelson Delle-Vigne Fabbri, pianiste, et son épouse rachètent le bâtiment à Jean Vanderbeck pour en faire le siège de la Fondation Bell’Arte, association internationale sans but lucratif, qui a comme but de soutenir de jeunes musiciens (pianistes, chanteurs lyriques, violonistes…), peintres, … et d’organiser des expositions, concerts etc, afin de rendre la culture accessible à un maximum de gens. Depuis 1993, la Fondation n’a de cesse de renforcer sa mission aussi bien à Braine-l’Alleud que sur le plan international. Elle a accueilli en ces murs de grands musiciens de renommée internationale tels que Philippe Entremont, Lazar Berman, Jean-Philippe Collard, Michel Béroff, France Clidat, Jerome Lowenthal, …. (Source: Hilde Delle-Vigne)

La salle, le Kursaal, 30 m x 11m, dispose d’un vaste balcon et une grande scène. Les loges étaient situées en-dessous de la scène. En-dessous de la salle, le Caveau, bar-salle de fête, pouvait accueillir une centaine de personnes assises. L'ancienne salle du Caveau a été ravagée par un incendie accidentel en 1997 (nuit du 31 mai au 1er juin). La salle des machines du Kursaal abrite toujours deux anciens projecteurs Bauer et un exemplaire en bois des guichets, en parfait état de conservation, se trouve toujours dans le hall d’entrée du cinéma.(Source: Hilde Delle-Vigne)


Teinturerie et fabrique de tissus H.Gérard et Fils, en 1898.
Teinturerie et fabrique de tissus H.Gérard et Fils, chaussée d'Alsemberg. Photo du 11 mars 1898.
L'Annonce Brabançonne du samedi 24 novembre 1912. Collection : Josiane Pierart.
L'Annonce Brabançonne du samedi 14 septembre 1912. Collection : Josiane Pierart.
Début de la chaussée d'Alsemberg vers 1924. Le bâtiment à gauche est le café La Concorde. Il prit la place de la teinturerie et fabrique de tissus H.Gérard et fils. Le café fut tenu par Armand Hancq puis par Madeleine Tilman.
1919. Collection : Brania.
1919. Collection : Brania.
1921. "LE BRAINOIS " du samedi 24 septembre 1921. Collection : Josiane Pierart.
1923. Alain Senterre-Courtois :"Robert Vanderbeck était ami, et de la même génération que mon grand-père paternel, né en 1891. D'après ses récits, il a même fait projectionniste en dépannage pour Robert dans l'entre deux guerres..." Collection : Josiane Pierart.
Braderie costumée 1900 du quartier de l'Estrée (1938). Photo de groupe devant le café "La Concorde", au début de la chaussée d'Alsemberg.Sur la photo : Firmin Piraux, René Allard, Trépagne,...Collection : Jean-François Piraux
Calendrier du Commerce du jeudi 25 janvier 1940. Collection : Josiane Pierart.
25 décembre 1941. Collection : Jean-François Piraux.
Publicité parue dans le Calendrier du Commerce du jeudi 30 avril 1942. Collection : Brania.
La Voix Brabançonne du vendredi 13 juillet 1945. Collection : Josiane Pierart.
31 décembre 1948. Gaston Reiff au Kursall. "La Voix Brabançonne" du 31 décembre 1948. Collection : Brania.
1951 ou 1952 : devant le Concorde. Sur la photo : René Allard,à gauche. Collection : Jean-François Piraux.
5 décembre 1953 : bal de la Saint-Nicolas organisé par la Pelote Jean Volders. Collection : Brania.
1954: l'Estrée en fleurs. A gauche, une affiche du cinéma Kursaal. Sur la photo : René Allard et Firmin Piraux. Collection : Jean-François Piraux
16 janvier 1954: tirage de la loterie coloniale. Collection : Josiane Pierart.
Annonce Brabançonne de septembre 1955. Collection : Josiane Pierart.
Annonce Brabançonne du jeudi 3 novembre 1955. Collection : Josiane Pierart.
12 novembre 1955: grand bal d'automne. L'Annonce Brabançonne du jeudi 3 novembre 1955. Collection : Josiane Pierart.
1956 : à l'entrée du Kursaal...Photo tirée du film Belgavox "El ducasse de l'Estraye en 1956". Collection : Brania.
Fichier:Kur65.jpg
1965. Collection : André Verborgh.
1965. Publicité parue dans l'Aclot du mercredi 25 août 1965. Collection : Josiane Pierart.
28 février 1967. Collection : Josiane Pierart.
Mercredi 6 mai 1970. Collection : Josiane Pierart.
1971. Collection : Olivier Mortier.
Collection : Jacques Langlais.
Collection : BellArte Icpa‎.
Collection : BellArte Icpa‎.
3 janvier 2019 : l'arrière de l'ancien Kursall, photo prise depuis la pédiatrie de la Rue Wayez. Photo : David Holoffe.
Du 3 au 12 mai 2019...
3 mai 2019: vernissage de l'exposition. Sur la photo : Nelson et Hilde Delle-Vigne Fabbri, Jacques Mercier,... Photo : Véronique Denis-Simon.
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